jeudi 20 mai 2010

Meeting avec Pierre LAURENT

Vendredi 28 mai  à 20 H 00
Salle polyvalente Louis Maisonnat à Vif

Pierre LAURENT, coordinateur national du Parti communiste français
Elisa MARTIN, Conseillère régionale, Parti de Gauche
Armand CREUS, Conseiller régional, Gauche Unitaire
Isabelle MÉTRAL, Pour une Alternative à Gauche 38
Laurent JADEAU et Annie FOGLIO, candidats du Front de Gauche aux élections législatives sur la 4ème circonscription.

mercredi 19 mai 2010

Salah n’est pas Clothilde - L’Iran n’est pas Israël…

Nous nous réjouissons tous de la libération, désormais pleine et entière, de notre jeune compatriote, Clothilde Reiss, détenu depuis 10 mois en Iran dont 8 mois passés à l’ambassade de France à Téhéran dans l’attente de sa libération obtenue aujourd’hui.
Cette libération intervient après un procès truqué devant un tribunal civil de Téhéran dont l’audience a été publique et devant lequel, pour éviter le pire, elle s’est accusée faussement. Ce furent, en effet, des « aveux extorqués » selon Bernard Kouchner. Elle est libre aujourd’hui dimanche, après des mois très « difficiles  pour une jeune fille », selon le même ministre. 
  Bienvenue en France à Clotilde !
  Cette situation qui nous réjouit est à mettre en relation avec la situation de Salah Hamouri. Lui aussi c’est un jeune Français. Il a 25 ans. Lui aussi a été contraint de s’accuser faussement devant un tribunal militaire israélien d’occupation, illégal, tandis qu’aucun fait ni acte ne sont à lui reprocher. Le procès fut à huis clos. Mais il est quant à lui toujours en prison. Depuis plus de 5 ans. En Israël.
  Voilà un véritable scandale d’Etat.
  Voilà qu’un régime qualifié de totalitaire, l’Iran, libère notre jeune compatriote au terme de négociations nombreuses appuyées par une ferme volonté politique du Chef de l’Etat. L’Iran totalitaire libère Clotilde et Israël, considéré par le Président de la république et son ministre des Affaires étrangères, comme étant un Etat de droit refuse la libération de Salah Hamouri, 25 ans, et lui refuse la moindre remise de peine !
  Qui peut croire que ce qui a pu être obtenu de l’Iran pour Clotilde ne peut pas l’être d’Israël pour Salah ?
  Si tel n’est pas le cas, c’est qu’entre les deux « affaires » il ya une nette différence d’attitude et de traitement de la part des autorités françaises, une différence énorme illustrée par le fait, symbolique mais honteux, que le Chef de l’Etat refuse formellement et obstinément de recevoir en personne la famille de Salah Hamouri à l’Elysée.
  La liberté ne peut avoir de frontières. La défense des droits de l’Homme non plus. Ce qui vient de se passer heureusement aujourd’hui pour Clotilde, il faut que cela se passe pour Salah.
  Ceux qui dirigent savent mieux que nous ce qui peut et doit être fait pour aboutir à la libération de ce jeune Français de 25 ans qui est pourtant le plus « vieux » des prisonniers politiques de France malgré son jeune âge.
  Salah vaut Clotilde. Un Français vaut une Française. La solidarité dit être sans frontières politiques.
  La démonstration est ainsi faite aujourd’hui que si les autorités françaises le veulent, elles peuvent le sortir de prison. Aucune échappatoire n’existe plus pour elles. Elles ont plus clairement que jamais au pied du mur.
  Il convient, forts de ce qui vient de se passer pour Clotilde emprisonnée en Iran, d’exiger plus fort, et plus nombreux que jamais, la libération de Salah Hamouri, victime d’une occupation étrangère et d’un procès illégal et illégitime.
  Ce qui a été obtenu de l’Iran peut l’être d’Israël. Qui peut prétendre le contraire ? C’est une question de volonté politique jusqu’ici absente pour Salah.
  A nous de l’imposer !  
  Plus que jamais nous avons le bon droit de notre côté !

mardi 18 mai 2010

Retraites : la gauche de la gauche appelle à la mobilisation

 Les réactions à la gauche du PS et chez les écologistes au document d'orientation sur les retraites présenté par le gouvernement ne se sont pas fait attendre. Tant sur la méthode que sur les choix dessinés, la condamnation est sans appel.
Les critiques visent d'abord la méthode - annoncer des pistes sans mesures concrètes - et le calendrier - attendre l'été pour le faire. " Le gouvernement joue la montre en évitant le débat. C'est un vrai recul démocratique ", réagit Olivier Dartigolles, porte-parole du Parti communiste français (PCF). " On crée une situation d'attente mais ce plan n'est là que pour réduire le déficit de notre pays et se conformer aux agences de notation. Les salariés ne sont une fois de plus qu'une variable d'ajustement ", remarque Noël Mamère, député Verts de Gironde.
Les contours de la réforme sont aussi critiqués vertement. " Allongement de la durée de cotisation, recul de l'âge de la retraite, peut-être les deux, on est vraiment dans le noyau dur de la remise en cause du droit à la retraite ", observe Pierre-François Grond, membre de l'exécutif du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA).
" Ce qui motive ce choix n'est pas de sauver les retraites mais c'est le travailler plus. Or les mesures envisagées nous ont déjà mis dans une situation d'impasse ", assure M. Dartigolles.
Surtout, l'impression d'un déjà vu domine : " C'est toujours la même logique qui a présidé à toutes les décisions prises par les gouvernements de droite sur ce dossier et n'a conduit qu'à une chose : la dégradation des conditions des retraites ", constate Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts.
Même la légère inflexion et l'accroc au bouclier fiscal qu'est la perspective de faire contribuer les hauts revenus ne trouve pas grâce aux yeux de ces leaders d'opposition. " C'est un leurre " pour le PCF, " du décorum pour habiller la remise en cause des retraites ", pour le NPA. Pour tous, l'urgence est de défendre le droit à la retraite et de s'opposer aux mesures annoncées. Avec un principe " intangible ", selon M. Mamère : le maintien de l'âge légal.
En attendant, la gauche appelle à la mobilisation. " L'heure est à l'unité syndicale et de la gauche politique pour organiser une riposte frontale ", dit M. Grond. Même chose pour le PCF: " Il faut faire du 27 mai - journée d'action syndicale - une mobilisation réussie et un moment où on explique à l'opinion qu'il y a d'autres choix possibles ",
Par Zappi Sylvia, Le Monde 18 mai 2010 -

dimanche 16 mai 2010

Non à la spéculation sur l’électricité

Le gouvernement présentera très prochainement, un projet de loi sur la nouvelle organisation du marché de l’électricité (nome). Ce projet de loi vise à répondre favorablement aux injonctions de la commission européenne pour établir en France un marché de l’électricité plus concurrentiel qu’il ne l’est actuellement.

  Pour satisfaire l’Union Européenne, le gouvernement veut contraindre légalement l’opérateur historique à rétrocéder à des entreprises concurrentes une partie très importante de sa production à prix coûtant.
Ainsi «Electricité De France est tenu de conclure des contrats de vente d’électricité, à des conditions représentatives des conditions économiques de production de l’électricité par ses centrales nucléaires situées sur le territoire national avec les fournisseurs d’électricité qui en font la demande.»
Le volume global maximum pourra être 120 térawatt heures soit environ le quart de la production totale d’EDF.
Les prévisions faites par les services de l’état dans les études sur les coûts de référence montrent que la production de base dont le MWh est le moins cher est celle du nucléaire, dont la valeur varie de 30 à 55 € le MWh, suivant que l’on prend comme référence les centrales existantes ou le nouvel EPR. Cette proposition si elle était votée, donnerait aux bénéficiaires des contrats une manne financière considérable.
Le MWh étant vendu au consommateur d’électricité en France de l’ordre de 78 €, c’est un cadeau de plus de 2 milliard d’€ par an que l’Etat s’apprête à faire aux compagnies privées concurrentes alors qu’elles n’auront fait aucun investissement. C’est également un marché concurrentiel purement artificiel qui attirera des traders français mais également étrangers qui seront séduits par des bénéfices qu’ils n’auront nullement l’intention d’investir dans des unités de production, et qui feront leur profit en revendant l’électricité achetée à bas coût en France pour la revendre principalement à l’étranger avec un bénéfice maximum.
C’est surtout, pour EDF, une diminution de sa capacité financière à un moment où il doit faire de nombreux investissements pour assurer la transition énergétique imposée par la raréfaction des ressources pétrolières et gazières, l’augmentation de la consommation d’électrique, ainsi qu’à terme le renouvellement de ses centrales.
Ce projet, s’il était adopté dans sa forme actuelle1 est très dangereux, car il remet en cause la capacité à satisfaire dans l’avenir les besoins énergétiques de notre pays et les conséquences sur les prix ne se feront pas attendre. Car comme l’a dit Marcel Boiteux ancien directeur d’EDF, il ne s’agit donc plus, comme on pouvait le croire initialement, d’ouvrir la concurrence pour faire baisser les prix, mais d’élever les prix pour permettre la concurrence.
  1) Avant projet de loi de réforme du marché de l’électricité :

27 mai, on manifeste à Grenoble à 10H, Place de la Gare

Grenoble, 27 mai, manifestation à 10H
de la Place de la Gare à la Préfecture
 
Communiqué commun des organisations syndicales
CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA
 
Emploi, salaires, retraite :
tous mobilisés, rassemblés et exigeants !
 
Dans un contexte économique et social caractérisé par une situation de l’emploi dégradée, des difficultés de pouvoir d’achat et une aggravation des conditions de travail pour de nombreux salariés, dans le public et dans le privé, en France et en Europe, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA réaffirment que la sortie de crise passe par des politiques publiques en faveur d’une relance économique intégrant la satisfaction des besoins sociaux.
Avant même que le Président de la République ne réunisse un "sommet social" le 10 mai 2010, le Premier ministre annonce un gel des dépenses de l’Etat pour les 3 ans à venir. Les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA condamnent cette annonce et considèrent que la réduction des déficits ne peut être envisagée sans assurer la cohésion sociale et la réduction des inégalités, en particulier par une fiscalité plus redistributive.
Donner la priorité à l’emploi stable, améliorer les salaires et le pouvoir d’achat, réduire les inégalités, réorienter la fiscalité vers plus de justice sociale, investir pour l’emploi de demain par une politique industrielle prenant en compte les impératifs écologiques et par des services publics de qualité restent nos objectifs communs.
Concernant les retraites, elles rappellent que l’emploi "en quantité, en qualité et qualifié, reconnu et valorisé" doit devenir une priorité dans les entreprises et les administrations pour redonner du sens au travail, à la société toute entière. C’est une source de financement incontournable pour assurer le devenir et la pérennité de notre système de retraites par répartition basé sur la solidarité intergénérationnelle. Une plus juste répartition des richesses, la réduction des inégalités, l’égalité entre les Femmes et les Hommes au travail s’imposent aussi pour garantir à tous un bon niveau de vie à la retraite. L’âge légal de départ en retraite à 60 ans doit être maintenu. La pénibilité du travail doit être reconnue et ouvrir des droits à un départ anticipé à la retraite.
La concertation en cours, le calendrier extrêmement serré imposé n’offrent pas une qualité de dialogue social acceptable pour répondre à un tel enjeu de société, d’autant que les seuls éléments de la réforme proposée restent le recul de l’âge légal de départ à la retraite et l’allongement de la durée de cotisation dans un cadre budgétaire constant.
Pour toutes ces raisons et dans un cadre unitaire, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA appellent les salariés, les retraités, les jeunes et les privés d’emploi à une journée nationale de mobilisation le jeudi 27 mai 2010 pour interpeller ensemble les pouvoirs publics, tous les employeurs et peser sur les choix à venir.
Elles appellent l’ensemble de leurs organisations à se rencontrer pour décider, dans les entreprises et lieux de travail, d’actions unitaires de haut niveau donnant lieu à des grèves et des manifestations interprofessionnelles dans les territoires.

Rapport du COR : il est temps d’arrêter de tondre le mouton toujours plus court

Selon le COR (Conseil d’Orientation des Retraites), le recul de l’âge légal de départ à la retraite à 63 ans combiné à un allongement de cotisation à 45 ans permettrait de couvrir environ la moitié du déficit du régime retraite en 2050.
Encore une fois pour le secrétariat COR, il est un impensé : celui d’examiner avec sérieux de nouvelles pistes de financement telle la taxation des flux financiers.
Le gouvernement doit présenter clairement ses propositions. Un grand débat national doit s’ouvrir sur les retraites permettant de réfléchir à toutes les pistes, notamment celles des ressources de financements. D’Athènes à Paris, les peuples n’accepteront plus la camisole politique toujours plus dure et brutale.
De Maastricht aux réformes Fillon-Balladur sur les retraites, c’est un échec cuisant qui exige aujourd’hui une orientation radicalement différente.
Il est temps d’arrêter de tondre le mouton toujours plus court, et d’aller enfin chercher les financements là où ils se trouvent.

Bienvenue sur le site du Travailleur Alpin

L'appel d'Annie David, Sénatrice de l'Isère

J’appelle à voter Laurent Jadeau et Annie Foglio

Les logiques menées dans notre pays ces dernières années n’ont qu’un seul but : permettre au libéralisme de s’étendre chaque jour davantage, au service de celles et ceux qui détiennent les richesses, une infime minorité de la population. La crise en Grèce témoigne dramatiquement de cette politique.
En tant que parlementaire, je peux attester de la volonté du gouvernement et de sa majorité de tout mettre en œuvre dans ce sens. L’ensemble des réformes aujourd’hui en débat poursuit cet objectif, prônant la rigueur et l’austérité pour certaines et certains, pendant que d’autres bénéficient de largesses ! Bien sûr la réforme sur les retraites est dans toutes les pensées, mais celle des collectivités territoriales n’échappe pas à cette logique.
Sous prétexte de simplification du « mille feuille », de gaspillage de nos élu-es et de renvoyer les collectivités à leurs compétences, ce gouvernement en organise leur mise sous tutelle par l’Etat, les privant non seulement de l’initiative de la politique à mettre en œuvre sur leur territoire, mais également en les privant de leurs moyens financiers.
La réforme de la Taxe Professionnelle poursuit également le même but : celui de satisfaire les appétits insatiables des actionnaires !
En permettant à la gauche d’avoir la force de son ambition pour lutter véritablement contre ce système économique injuste, qui écrase sur son passage tant de femmes et d’hommes, leur famille, cette candidature est un acte de résistance. 
C’est le sens de mon appel à voter pour Laurent Jadeau et sa suppléante Annie Foglio.
Avec Laurent et Annie, nous faisons de plus le choix d’élu-e-s de terrain, de proximité. Du secteur du transport à celui de l’environnement, passant par celui du social ou de l’économique, du logement ou de la jeunesse, de l’école ou de la culture, Laurent et Annie, tous deux impliqués dans la vie locale, sauront faire entendre la voix de celles et ceux qui, comme eux, défendent nos valeurs communes de solidarité, de partage, de fraternité.

« Les Ultra-libéraux ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait ! »


En voulant examiner les projets des budgets des pays de la zone euro avant qu’ils ne soient votés par les parlements nationaux, la commission européenne veut imposer la mise sous tutelle de ces parlements.
L’exécutif européen s’était déjà distingué par un laissez-faire généralisé aux marchés financiers pour leur permettre de spéculer en toute impunité, se permettant même de voler à leur secours en pleine tempête financière.
Non-contents d’imposer l’orthodoxie budgétaire, les marchés financiers veulent maintenant cadenasser la démocratie.
Devant un tel scandale et pour paraphraser Michel Audiard, « les Ultra-libéraux ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait ! ». A l’image de la mobilisation en Grèce et de la riposte qui commence à s’organiser dans notre pays face au plan de rigueur mis en place par le gouvernement, la commission européenne doit savoir que les peuples ne se laisseront pas manipuler de la sorte.
Que Bruxelles arrête de prendre ses désirs pour la réalité. Le pouvoir des actionnaires n’a pas encore remplacé la démocratie !
Pierre Laurent, Coordinateur national du PCF
Paris, le 12 mai 2010.

mercredi 12 mai 2010

« Plan d’aide à l’euro » : l’UE cède aux exigences des marchés financiers !


Par :

Le plan adopté par l’UE ce week-end envoie un signal catastrophique : ce serait aux peuples européens de payer la crise, pas aux marchés financiers. Il témoigne de l’échec des réponses mises en œuvre depuis le début de la crise qui ont mobilisé des centaines de milliards d’euros pour les banques sans rien résoudre. Il est aussi l’aveu que le traité constitutionnel européen qui a été imposé aux peuples est devenu inapplicable. Et nombre de ses dispositions s’apparentent à un coup de force contre la démocratie, contre les souverainetés nationales.
C’est un tournant historique qui constitue une fuite en avant très grave vers de nouvelles crises. Cela conforte la mobilisation de celles et ceux qui, comme le PCF, demandent depuis 2005 que soit redondée la construction européenne.



Le plan vise à renforcer encore plus le carcan du pacte de stabilité et le Fonds de stabilisation créé serait assorti de conditions d’éligibilité draconiennes qui tendront à miner le « modèle social européen » et à briser les ressorts de la croissance réelle. De la même façon, l’achat direct par la BCE de titres d’État ne viserait qu’à sauver les profits bancaires et les capitaux financiers sur-accumulés. Ces dispositions vont peut-être calmer temporairement la spéculation, mais elles vont s’avérer très vite contradictoires car elles tendent à écraser l’emploi, la formation, les salaires, les services publics, la relance de l’activité.
Le PCF condamne ces dispositions et les plans de rigueur qui les accompagnent et demande à ce que le pacte de stabilité soit mis en cause pour une relance concertée des services publics en Europe. La politique monétaire de la BCE doit être réorientée et placée sous contrôle démocratique : l’achat de titres de dettes publiques comme nous l’avions proposé doit servir une croissance utile socialement. Dans ce même but, nous proposons la mise en place d’un fonds européen, non pour soutenir la finance comme cela vient d’être décidé, mais pour le développement social et écologique.
Face à la dictature des marchés financiers et au coup de force des gouvernements de l’Union européenne, le PCF appelle à un rendez-vous de lutte et de colère le 19 mai à la rotonde au métro Jaurès. Ce rassemblement sera marqué par le témoignage de salariés en lutte contre le plan de rigueur et par la présence de Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF et députée, Pierre Laurent, coordinateur national du PCF et Patrick Le Hyaric, rédacteur en chef du journal l’Humanité et député européen. A cette occasion, le PCF présentera ses propositions pour favoriser un rassemblement populaire autour de solutions réellement anti-crise.
Parti communiste français
Paris, le 11 mai 2010.

Mobilisons nous contre la casse des retraites : le calendrier des débats

dimanche 2 mai 2010

Appel à la création d'un collectif Grésivaudan pour la défense des retraites



Le lundi 3 mai salle Cascade à Crolles (derrière la Mairie) à 20h

Vous êtes invités à nous rejoindre pour réfléchir à la constitution d' un comité unitaire ouvert à tous, citoyens, associations, partis, syndicats pour préparer tous ensemble, les conditions d’une véritable mobilisation sociale d’ampleur, seule à même de s’opposer à la contre réforme engagée par la droite et le Medef.

Des représentants d'ATTAC Grésivaudan, de la CGT, de la FSU, du PCOF, de PAG 38, de la Gauche Unitaire, du PS, des Verts, du Parti de Gauche, du NPA, du PCF et des Citoyen(ne)s sont invités.