mercredi 31 mai 2017

Manifestation le 1er juin à Grenoble contre la fermeture de 6 bureaux de Poste

       
Le collectif J’aime ma Poste appelle à une marche le 1er juin prochain pour dénoncer « le choix de la rentabilité financière plutôt que celui du service public » et s’opposer à la fermeture possible de 6 bureaux de poste à Grenoble. En ligne de mire, dès 2018, ceux des quartiers Île verte et Championnet, en attendant ceux de Bajatière, Stalingrad, Eaux claires et Grand’Place. 




Rendez-vous est donné aux manifestants à 17 heures, devant le bureau de poste République, à proximité de l’office du tourisme et de l’arrêt de tramway Hubert Dubedout. En outre, une pétition a été mise en ligne, réclamant « le retour à un service postal de qualité dans ces bureaux, avec l’ensemble des services offerts, suffisamment de personnel et des horaires étendus ».

Un collectif qui unit habitants et organisations syndicales



« En agissant ensemble, on peut bloquer ces fermetures ! », clament les organisateurs de la marche. Une certitude déjà exprimée lors d’une réunion publique organisée le mardi 18 avril dans le quartier de l’Île verte.
Le collectif J’aime ma Poste appelle à une marche le 1er juin prochain pour dénoncer « le choix de la rentabilité financière plutôt que celui du service public » et s’opposer à la fermeture possible de 6 bureaux de poste à Grenoble. En ligne de mire, dès 2018, ceux des quartiers Île verte et Championnet, en attendant ceux de Bajatière, Stalingrad, Eaux claires et Grand’Place. Rendez-vous est donné aux manifestants à 17 heures, devant le bureau de poste République, à proximité de l’office du tourisme et de l’arrêt de tramway Hubert Dubedout. En outre, une pétition a été mise en ligne, réclamant « le retour à un service postal de qualité dans ces bureaux, avec l’ensemble des services offerts, suffisamment de personnel et des horaires étendus ». Un collectif qui unit habitants et organisations syndicales « En agissant ensemble, on peut bloquer ces fermetures ! », clament les organisateurs de la marche. Une certitude déjà exprimée lors d’une réunion publique organisée le mardi 18 avril dans le quartier de l’Île verte. Syndicats, citoyens, élus et candidats réunis le 18 avril contre la fermeture de bureaux de poste à Grenoble © Florent Mathieu - Place Gre'net Syndicats, citoyens, élus et candidats réunis le 18 avril contre la fermeture de bureaux de poste à Grenoble. © Florent Mathieu – Place Gre’net C’est à l’issue de celle-ci que s’est d’ailleurs constitué le collectif J’aime ma Poste et que se sont décidés les premiers modes d’action. Un collectif qui fait la démonstration de l’union entre citoyens et syndicats sur cette question. Y sont en effet représentés des habitants, les unions de quartier de plusieurs secteurs de Grenoble, mais également les syndicats Sud PTT Isère Savoie, CGT ou encore Force ouvrière. La municipalité de Grenoble s’oppose elle aussi aux fermetures Les élus ne sont pas en reste. Par la voix de Pascal Clouaire, adjoint en charge de la Démocratie locale, la municipalité de Grenoble a fait savoir qu’elle s’opposait à ces fermetures. Candidat En marche pour les Législatives, Olivier Véran a également pris la parole le 18 avril, appelant notamment les électeurs à interpeller les candidats sur cette question. La manifestation s’inscrit en outre dans un contexte particulier : le 24 mai dernier, Sud PTT a déposé une saisine aux prud’hommes de Grenoble afin d’obtenir la levée de sanctions sur quatre salariés. Mais aussi de faire reconnaître la « discrimination syndicale » qui règnerait dans l’entreprise, Sud dénonçant des « brimades et des menaces en permanence ».

Source : article Manifestation le 1er juin à Grenoble contre la fermeture de 6 bureaux de Poste | Place Gre'net - Place Gre'net
Le collectif J’aime ma Poste appelle à une marche le 1er juin prochain pour dénoncer « le choix de la rentabilité financière plutôt que celui du service public » et s’opposer à la fermeture possible de 6 bureaux de poste à Grenoble. En ligne de mire, dès 2018, ceux des quartiers Île verte et Championnet, en attendant ceux de Bajatière, Stalingrad, Eaux claires et Grand’Place. Rendez-vous est donné aux manifestants à 17 heures, devant le bureau de poste République, à proximité de l’office du tourisme et de l’arrêt de tramway Hubert Dubedout. En outre, une pétition a été mise en ligne, réclamant « le retour à un service postal de qualité dans ces bureaux, avec l’ensemble des services offerts, suffisamment de personnel et des horaires étendus ». Un collectif qui unit habitants et organisations syndicales « En agissant ensemble, on peut bloquer ces fermetures ! », clament les organisateurs de la marche. Une certitude déjà exprimée lors d’une réunion publique organisée le mardi 18 avril dans le quartier de l’Île verte. Syndicats, citoyens, élus et candidats réunis le 18 avril contre la fermeture de bureaux de poste à Grenoble © Florent Mathieu - Place Gre'net Syndicats, citoyens, élus et candidats réunis le 18 avril contre la fermeture de bureaux de poste à Grenoble. © Florent Mathieu – Place Gre’net C’est à l’issue de celle-ci que s’est d’ailleurs constitué le collectif J’aime ma Poste et que se sont décidés les premiers modes d’action. Un collectif qui fait la démonstration de l’union entre citoyens et syndicats sur cette question. Y sont en effet représentés des habitants, les unions de quartier de plusieurs secteurs de Grenoble, mais également les syndicats Sud PTT Isère Savoie, CGT ou encore Force ouvrière. La municipalité de Grenoble s’oppose elle aussi aux fermetures Les élus ne sont pas en reste. Par la voix de Pascal Clouaire, adjoint en charge de la Démocratie locale, la municipalité de Grenoble a fait savoir qu’elle s’opposait à ces fermetures. Candidat En marche pour les Législatives, Olivier Véran a également pris la parole le 18 avril, appelant notamment les électeurs à interpeller les candidats sur cette question. La manifestation s’inscrit en outre dans un contexte particulier : le 24 mai dernier, Sud PTT a déposé une saisine aux prud’hommes de Grenoble afin d’obtenir la levée de sanctions sur quatre salariés. Mais aussi de faire reconnaître la « discrimination syndicale » qui règnerait dans l’entreprise, Sud dénonçant des « brimades et des menaces en permanence ».

Source : article Manifestation le 1er juin à Grenoble contre la fermeture de 6 bureaux de Poste | Place Gre'net - Place Gre'net

Campagne officielle: On a retrouvé Ubu roi, il est au CSA !

Le Conseil constitutionnel suite à un référé d’En Marche doit donner un avis sur le temps d’antenne pour la campagne audiovisuelle officielle

A cette occasion, le PCF dénonce avec force le scandale du partage du temps d’antenne. Disposant de deux groupes parlementaires, à l’Assemblée et au Sénat, et présentant 524 candidats, le PCF se verra « généreusement » attribuer 5 minutes, contre 2h au PS et 1h44 à LR. Un parti qui ne dispose pas de groupe parlementaire mais présente plus de 75 candidats aura lui 7 minutes de temps d’antenne.
On a retrouvé Ubu roi, il est au CSA !

Le PCF demande au Conseil constitutionnel de faire cesser cette farce anti démocratique et que les règles promises d’équité soient respectées.

mardi 30 mai 2017

La campagne bat son plein



Les affiches de Sylvie Guinand et de Joël Marseille, candidats PCF-Front de Gauche "L'humain au cœur dans la 5eme circonscription de  l’Isère fleurissent dans la vallée du Grésivaudan.
Une semaine de campagne et de collage intense car la circonscription est grande, la concurrence est rude et les militants communistes sont coriaces.
Au final, le sérieux et la constance de l'engagement sur le terrain au côté des gens, loin des effets d'estrade et de campagne médiatique, paieront!

lundi 29 mai 2017

PAS DE RASSEMBLEMENT A GAUCHE ?

Sylvie Guinand et Joël Marseille expriment leurs regrets :
« En dépit de notre volonté maintes fois formulée, la gauche se présentera désunie le mois prochain aux élections législatives. Dès la présentation de notre candidature,  (conférence de presse du vendredi 16/12/2016) nous avions déclaré que nous étions à la disposition des forces de gauche anti-austérité. C’est-à-dire que nous souhaitions  discuter avec elles pour aboutir à une candidature de rassemblement sur nos noms ou sur celui d’autres candidats, sur la base d’un programme élaboré en commun.
Depuis cette date, nous avons confirmé cette volonté dans toutes nos déclarations. Les tracts que nous avons distribués et notre interview publiée le 3 mai 2017 dans « Le Dauphiné Libéré » en font foi. Nous avons aussi à plusieurs reprises proposé une rencontre pour en discuter à « La France Insoumise » et à  « Europe- Ecologie-Les Verts ».  Après plusieurs relances, cette rencontre a eu lieu le samedi 29 avril avec la France Insoumise et le lundi 8 mai avec Europe Ecologie-Les Verts.
A l’issue d’une discussion fraternelle avec les Verts, il est apparu que la candidature de l’un des acteurs de la lutte emblématique d’ECOPLA  pouvait faire consensus pour un porter un rassemblement de la gauche de transformation. Consultée, cette personne acceptait à la seule condition que le Parti Communiste, la France Insoumise et Europe Ecologie Les Vert donnent tous les trois  leur accord. Pour notre part, avec les communistes de notre circonscription nous avons déclaré être prêts à retirer notre candidature au bénéfice de celle permettant le rassemblement des forces de gauche.
Malheureusement, le 10 mai  la « France Insoumise » nous faisait savoir qu’elle renonçait à une candidature commune, et confirmait la présentation de ses candidats.                            Sans accord de rassemblement autour d’une candidature  issue du mouvement social,  le salarié d’ECOPLA s’est aussitôt retiré, considérant que c’était la proposition de la dernière chance pour une gauche unie contre la droite (LR et En Marche), l’extrême-       droite et le Parti Socialiste pro-Valls.
C’est ainsi qu’après nous être retirés pour rendre possible le rassemblement, nous restons résolument candidats, pour proposer avec vous un projet de société progressiste, et à travers lui, réunir avec détermination les forces de gauche prêtes à le porter avec nous. »

dimanche 28 mai 2017

Les communistes ce matin sur le marché de Crolles






Par cette matinée ensoleillé, les promeneurs du marché de Crolles avec leurs cabas rempli de fruits et légumes regrettaient de ne pas avoir une gauche réuni pour ces élections législatives, mais appréciaient le travail fait par le PCF sur la 5eme circonscription de l’Isère pour avoir tenté ce rassemblement
Bien entendu nous n’étions pas les seul à distribuer sur le marché ce matin.

Les prisonniers palestiniens arrêtent leur grève de la faim

Les centaines de prisonniers palestiniens qui observaient une grève de la faim depuis le 17 avril dans des prisons israéliennes pour améliorer leur conditions de détention de vie ont mis fin à leur mouvement, ont indiqué samedi des sources palestiniennes et israéliennes.
 
La grève a été suspendue à la suite d'un accord conclu entre les représentants des prisonniers et les autorités israéliennes, a indiqué à l'AFP le président du Club des prisonniers Qaddura Farès. Une porte-parole de l'administration pénitentiaire israélienne a confirmé à l'AFP la fin de la grève. Selon elle, l'accord prévoit que les prisonniers auront droit à deux visites par mois contre une avant le début de la grève. Cette revendication était une des principales présentées par les grévistes. La fin de la grève, qui était observée par plus de 800 détenus selon l'administration pénitentiaire, coïncide avec le début samedi du ramadan, le mois de jeûne musulman. Le président palestinien Mahmoud Abbas avait demandé une médiation américaine afin de mettre fin à ce mouvement initié par Marwan Barghouthi.
 
L'accord prévoit que les prisonniers auront droit à deux visites par mois contre une avant le début de la grève. Il s'agissait de l'une des principales revendications des grévistes. "Le CICR est prêt à aider pour organiser une deuxième visite" par mois, a indiqué son porte-parole Jesus Serrano. Il s'est félicité de la fin de la grève car son organisation, la seule à visiter les détenus, était "inquiète de la détérioration de l'état de santé des grévistes". Une trentaine d'entre eux ont été hospitalisés ces derniers jours en raison de la détérioration de leur état de santé, selon l'administration pénitentiaire. Les détenus réclamaient aussi des téléphones publics dans les prisons, la fin des "négligences médicales" et des mises à l'isolement, ainsi que l'accès à des chaînes télévisées et de la climatisation. Ils n'ont pas obtenu les téléphones publics, selon la porte-parole de l'administration.
Les Palestiniens ont proclamé la "victoire" et loué "l'épopée de la dignité et de la liberté" à l'issue d'une des grèves de la faim les plus longues de l'histoire du mouvement des prisonniers. Sur la place Yasser Arafat à Ramallah, où siège l'Autorité palestinienne en Cisjordanie occupée, des dizaines de proches, en majorité des mères et des filles de détenus, ont convergé vers la tente de soutien aux grévistes de la faim, a constaté une journaliste de l'AFP.
Au milieu des youyous, Amal Abou Dalal a explosé de joie. "C'est le prisonnier qui a vaincu son geôlier! On est heureux, on a gagné", a lancé cette Palestinienne de 50 ans dont le fils de 33 ans a déjà passé 14 ans en prison. Fedwa, l'épouse de Marwan Barghouthi dont plusieurs capitales et le Parlement européen réclament la libération car ils estiment qu'il pourrait jouer un rôle dans les efforts de paix avec Israël, a salué auprès de l'AFP "la victoire de la résistance et de la dignité".
 
La grève était observée par plus de 800 détenus selon l'administration pénitentiaire qui a précisé qu'une trentaine d'entre eux avaient été hospitalisés ces derniers jours en raison de la détérioration de leur état de santé. Le CICR avait averti jeudi que les grévistes étaient entrés dans une phase "critique". "Les médecins du CICR ont rendu visite à tous les détenus en grève de la faim", avait déclaré le chef du département de la santé du CICR en Israël et dans les territoires palestiniens occupés, Gabriel Salazar. "Nous sommes préoccupés par les éventuelles conséquences irréversibles sur leur santé. Du point de vue médical, nous entrons dans une phase critique", avait-il estimé dans un communiqué.
Les grévistes de la faim étaient issus de toutes les mouvances politiques palestiniennes, du Fatah aux partis de la gauche en passant par le mouvement islamiste Hamas, qui contrôle la bande de Gaza. Les Palestiniens ont multiplié les contacts internationaux depuis le début de la grève qui était menée dans différentes prisons israéliennes. Le président Abbas avait indiqué avoir notamment demandé jeudi à l'émissaire américain Jason Greenblatt, qu'il a reçu à Ramallah, en Cisjordanie occupée, d'assurer une médiation entre Palestiniens et Israéliens sur la question des prisonniers. M. Greenblatt s'est rendu à Ramallah deux jours après la venue en Israël et en Cisjordanie du président américain Donald Trump.
Ces prisonniers entendaient donner l'alerte sur les conditions de détention des 6.500 Palestiniens incarcérés par Israël, dont des dizaines de femmes et d'enfants, et dénoncer le système judiciaire israélien appliqué aux Palestiniens des Territoires occupés. Le sort des prisonniers est particulièrement sensible parmi les Palestiniens: plus de 850.000 d'entre eux (pour une population actuelle de 4,5 millions dans les Territoires) sont passés par les prisons israéliennes depuis le début en 1967 de l'occupation israélienne

samedi 27 mai 2017

Les communistes sur tous les fronts

Ce samedi les communistes étaient au marché du Touvet, et à Brignoud pour distribuer le tract 4 pages appelant à l'agenda des réunions publique qui se dérouleront sur la 5 eme circonscription de l'Isère avec nos candidats aux législatives, Sylvie Guinand et Joël Marseille.nous avons pu rencontrés nos collégues EELV, et de FI sur le marché.

Philippe Martinez : "Les ordonnances de Macron sont irrecevables!"

INTERVIEW - Le secrétaire général de la CGT affûte ses armes pour riposter au projet de réforme du Code du travail.

- Que vous inspire ce nouveau gouvernement?
- Je n'ai pas pour habitude de porter de jugement sur les ministres et sur ce qu'ils ont fait, mais c'est d'abord un gouvernement de communication. L'arrivée de Nicolas Hulot en est un exemple. On nous avait parlé de renouvellement… Certes, il y a des inconnus, mais d'autres ne sont pas des nouveau-nés comme Gérard Collomb, François Bayrou, Bruno Le Maire… Gérald Darmanin est peut-être jeune, mais pas en politique. Il s'est prononcé contre le mariage pour tous, ça n'est pas un signe de grande ouverture. On a un patchwork de gens de droite qui ont soutenu Juppé, Fillon ou Sarkozy. Cela dit, le Premier ministre a été honnête en disant qu'il était de droite.

- Et la nomination de Muriel Pénicaud, ancienne directrice générale de Business France, vous la saluez comme le font FO, le Medef et la CFDT?
- Certes, elle a démarré au cabinet de Martine Aubry dans le gouvernement Jospin. Mais j'en ai connu d'autres qui une fois devenus DRH dans une grande entreprise n'ont pas appliqué les 35 heures! Chez Danone, elle a mis en œuvre un plan de 900 suppressions d'emploi dont 200 en France et remis en question de nombreux droits pour les salariés de ce groupe. Ce qui a satisfait les actionnaires et Franck Riboud aussi. Depuis plusieurs années, elle fréquente plus les conseils d'administration que les ateliers ou les bureaux! Elle a un parcours de dirigeante d'entreprise, et le programme de Macron est clair. Elle est là pour l'appliquer.

- L'appel téléphonique du Premier ministre, jeudi, est-il de nature à vous rassurer sur ses intentions?
- Nous avons discuté quatre minutes trente et il nous a confirmé qu'il souhaitait nous rencontrer. Qu'un Premier ministre contacte les organisations syndicales la première semaine de sa prise de fonction est plutôt une bonne chose. C'est une attitude correcte.

- Sur la réforme du Code du travail, le gouvernement évoque plus une consultation…
- Ça ne veut rien dire une consultation! La loi Larcher prévoit une concertation sur les projets de loi en matière sociale. Il faut donc prendre le temps de discuter. À moins que la loi ne soit déjà écrite… Avec le gouvernement Valls, on a découvert le projet de loi travail dans un quotidien! Si Édouard Philippe et Emmanuel Macron ont cette conception de la concertation, il s'agit alors plus d'un affichage que d'un dialogue réel et sincère. Nous, on est prêts, on soumettra au Premier ministre une dizaine de mesures urgentes à prendre pour le pays. Si on écoute nos propositions, nous voulons bien parler du Code du travail. Mais notre objectif est de renforcer les droits des salariés. Pourquoi le gouvernement se comporterait-il comme le Medef, qui arrive en négociation avec un texte sur lequel on n'a ni marge de manœuvre ni possibilité d'amendement.
Lire la suite