Le Parti communiste français condamne avec la plus grande fermeté
l'interdiction du journal turc Özgür Gündem intervenue hier, 16 août
2016. Chaque jour qui passe, chaque heure presque, la répression du
pouvoir, qui a mis la justice au pas, agit comme un rouleau-compresseur
sur la société turque.
Depuis des mois déjà, les droits les plus élémentaires ne sont plus respectés par le régime d'Erdogan lequel, en un mois, a accéléré ce mouvement en organisant l'une des plus lourdes périodes de purges de l'histoire du pays.
L'heure est à la mobilisation sans précédent d'une solidarité internationale populaire et, plus largement encore, des gouvernements de tous les continents attachés à la paix, à la démocratie et aux droits humains.
Le PCF exprime son soutien aux forces démocratiques des peuples de Turquie, particulièrement au HDP et au BDP, à leurs militant-e-s, dirigeant-e-s et élu-e-s, ainsi qu'aux forces syndicales et associatives, aux journalistes et universitaires poursuivis, et aux habitant-e-s des villes soumises à la répression policière et la présence militaire.
Le PCF presse le gouvernement français de condamner les atteintes aux libertés et droits perpétrées par le pouvoir d'Ankara, et d'agir pour une suspension des accords de coopération bilatéraux et européens avec la Turquie en vue de contraindre le régime à accepter le dialogue démocratique sans discrimination ni exclusion des forces politiques démocratiques progressistes ni de l'ensemble des composantes des peuples de Turquie.
Depuis des mois déjà, les droits les plus élémentaires ne sont plus respectés par le régime d'Erdogan lequel, en un mois, a accéléré ce mouvement en organisant l'une des plus lourdes périodes de purges de l'histoire du pays.
L'heure est à la mobilisation sans précédent d'une solidarité internationale populaire et, plus largement encore, des gouvernements de tous les continents attachés à la paix, à la démocratie et aux droits humains.
Le PCF exprime son soutien aux forces démocratiques des peuples de Turquie, particulièrement au HDP et au BDP, à leurs militant-e-s, dirigeant-e-s et élu-e-s, ainsi qu'aux forces syndicales et associatives, aux journalistes et universitaires poursuivis, et aux habitant-e-s des villes soumises à la répression policière et la présence militaire.
Le PCF presse le gouvernement français de condamner les atteintes aux libertés et droits perpétrées par le pouvoir d'Ankara, et d'agir pour une suspension des accords de coopération bilatéraux et européens avec la Turquie en vue de contraindre le régime à accepter le dialogue démocratique sans discrimination ni exclusion des forces politiques démocratiques progressistes ni de l'ensemble des composantes des peuples de Turquie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire