La casse des systèmes de Sécurité sociale et de l'Assurance chômage, la récente réforme des retraites, le projet de réforme de l'APL ou encore la baisse de 57 millions de la part allouée aux centre d'hébergement et de réinsertion sociale mettent les femmes en première ligne face à la précarité et donc aux violences.
Il est minimaliste de penser que seules les violences sexuelles et physiques sont à combattre, les violences contre les femmes sont systémiques et la précarité est l'une des premières barrières qui empêche l'autonomie et donc la sortie des violences.
Contrats précaires, hausse des prix et des loyers ou désengagement de l'État qui affecte les services publiques comme ceux de la santé, de la police, de la justice et du système associatif notamment, ce sont d'abord et surtout les femmes qui en pâtissent.
Les élu-es et militant-es communistes et féministes marcheront samedi 23 novembre à Paris contre toutes les violences, traitement indignes et atteintes aux femmes.
Fabien Roussel, secrétaire national du PCF et député du Nord manifestera ce samedi à Paris à leurs côtés.
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