vendredi 25 août 2017

Pouvoir d’achat : l’entourloupe d’Emmanuel Macron

French President Emmanuel Macron attend a joint news conference with Switzerland's President at the Elysee Palace in Paris, France, July 18, 2017. REUTERS/Gonzalo Fuentes
L’échange CSG contre cotisations sociales patronales épargne la finance et sera source de divisions. Lire la suite
Avec la baisse des APL, la fin des contrats aidés ou encore la rédaction des ordonnances de la loi travail, on croyait épuisée la réserve de mauvais coups de l’été. C’était sans compter l’annonce, hier, d’une hausse de la CSG dès le 1er janvier qui ne sera pas intégralement compensée par la baisse des cotisations maladie et chômage, comme Emmanuel Macron s’y était engagé initialement pour prétendument « augmenter le pouvoir d’achat ». Le ministère des Comptes publics a en e­ et indiqué que, si la hausse de 1,7 point de la CSG s’appliquerait bien dès la nouvelle année, la suppression des cotisations pour les salariés du privé qu’elle est censée financer se ferait en fait « en deux temps », avec une première baisse au 1er janvier et une seconde qui n’interviendra qu’à l’automne 2018. Plusieurs milliards d’euros seront ainsi subtilisés au pouvoir d’achat des Français entre les deux échéances pour réduire le déficit public, a confirmé le ministre Gérald Darmanin, sur Twitter. Lire la suite

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