French
President Emmanuel Macron attend a joint news conference with
Switzerland's President at the Elysee Palace in Paris, France, July 18,
2017. REUTERS/Gonzalo Fuentes
L’échange CSG contre cotisations sociales patronales épargne la finance et sera source de divisions. Lire la suite
Avec
la baisse des APL, la fin des contrats aidés ou encore la rédaction des
ordonnances de la loi travail, on croyait épuisée la réserve de mauvais
coups de l’été. C’était sans compter l’annonce, hier, d’une hausse de
la CSG dès le 1er janvier qui ne sera pas intégralement compensée par la
baisse des cotisations maladie et chômage, comme Emmanuel Macron s’y
était engagé initialement pour prétendument « augmenter le pouvoir
d’achat ». Le ministère des Comptes publics a en e et indiqué que, si
la hausse de 1,7 point de la CSG s’appliquerait bien dès la nouvelle
année, la suppression des cotisations pour les salariés du privé qu’elle
est censée financer se ferait en fait « en deux temps », avec une
première baisse au 1er janvier et une seconde qui n’interviendra qu’à
l’automne 2018. Plusieurs milliards d’euros seront ainsi subtilisés au
pouvoir d’achat des Français entre les deux échéances pour réduire le
déficit public, a confirmé le ministre Gérald Darmanin, sur Twitter. Lire la suite
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