Si
cette diminution se traduisait par des emplois, nous pourrions nous
féliciter de la baisse du nombre des allocataires du RSA mais ce n'est
pas avéré.
Cependant, nous ne pouvons pas nous contenter des explications fournies par la majorité sur une baisse conjoncturelle au niveau national ou sur l'effet dissuasif de l'annonce de la lutte contre la fraude par le Département.
Cependant, nous ne pouvons pas nous contenter des explications fournies par la majorité sur une baisse conjoncturelle au niveau national ou sur l'effet dissuasif de l'annonce de la lutte contre la fraude par le Département.
Elu-es
locaux, présent-es sur le terrain, nous constatons au contraire que
l’aggravation des conditions de vie d’un nombre croissant de nos
habitant-es augmente en fait le non recours et le non accès aux droits.
Parallèlement, plusieurs associations iséroises oeuvrant dans le champ de l'accompagnement social subissent des baisses, parfois drastiques, de leurs financements par le Conseil départemental. Parmi elles, l'ASSFAM, l’Association Service Social Familial Migrants, voit sa subvention de fonctionnement divisée par deux pour l’année 2016 pour, à terme, être totalement supprimée. Lorsqu’on connait le contexte international et national qui est le nôtre aujourd’hui, une association qui oeuvre pour favoriser l’intégration des populations migrantes par l’accès aux droits, la socialisation, l’apprentissage de la langue française ... doit être fortement soutenue !
Quelle place cette majorité veut-elle laisser à l'Humain, souvent relégué derrière les chiffres et « les compétences régaliennes du Département », alors que nous lui souhaiterions une place centrale ?
Parallèlement, plusieurs associations iséroises oeuvrant dans le champ de l'accompagnement social subissent des baisses, parfois drastiques, de leurs financements par le Conseil départemental. Parmi elles, l'ASSFAM, l’Association Service Social Familial Migrants, voit sa subvention de fonctionnement divisée par deux pour l’année 2016 pour, à terme, être totalement supprimée. Lorsqu’on connait le contexte international et national qui est le nôtre aujourd’hui, une association qui oeuvre pour favoriser l’intégration des populations migrantes par l’accès aux droits, la socialisation, l’apprentissage de la langue française ... doit être fortement soutenue !
Quelle place cette majorité veut-elle laisser à l'Humain, souvent relégué derrière les chiffres et « les compétences régaliennes du Département », alors que nous lui souhaiterions une place centrale ?
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