Deux députés LREM et UDI demandent des comptes à Ségolène Royale sur son activité en tant qu'Ambassadrice des pôles et sur ses dépenses afférentes.
C'est une belle chose que les députés LREM sortent de leur hibernation vis-à-vis des questions de probité du personnel politique.
Du coup, on peut donc très certainement s'attendre à ce que la commission d'enquête de l'Assemblée nationale reprenne ses travaux sur l'affaire Benalla et se penche sur le dossier Richard Ferrand.
C'est une belle chose que les députés LREM sortent de leur hibernation vis-à-vis des questions de probité du personnel politique.
Du coup, on peut donc très certainement s'attendre à ce que la commission d'enquête de l'Assemblée nationale reprenne ses travaux sur l'affaire Benalla et se penche sur le dossier Richard Ferrand.
La commission d'enquête de l'Assemblée nationale avait dû suspendre de manière urgente et mystérieuse ses travaux et avait indiqué qu'elle ne publierait pas de rapport dans le cadre de l'affaire Benalla. On peut les comprendre, c'était un 1er août, les vacances c'est quand même important. Mais là, comme le cas Ségolène Royale semble suffisamment urgent pour que deux députés se penchent dessus entre la dinde de Noël et le champagne du Nouvel an, on peut supposer qu'est en train de fleurir une motivation renouvelée et intransigeante pour lutter contre la corruption publique. Il faut le saluer !
Je suis intimement convaincus que ces mêmes députés En Marche sont impatients de savoir comment et pourquoi M. Alexandre Benalla a pu obtenir un badge lui permettant d'entrer selon son bon vouloir dans l'hémicycle de l'Assemblée Nationale (pour rappel seuls y sont autorisés les députés, les huissiers et quelques personnels administratifs triés sur le volet - même les assistants parlementaires ne peuvent prétendre à ce badge). D'autant que la réponse initiale de l'intéressé étant rentrée dans les anales du foutage de gueule envers une commission d'enquête de l'Assemblée nationale (A. Benalla avait répondu que c'était pour accéder à la salle de sport de l'Assemblée), je suis convaincu que ces vertueux députés n'auront de cesse de laver cet insupportable affront.
Et ça c'est pour l'entrée, au plat de résistance il y a tabassage de manifestants, usage abusif de tenues et de matériel de police, des passeports diplomatiques bizarres, du barbouze au Tchad, des disparition de coffre fort et d'armes, etc., etc.
Je suis intimement convaincus que ces mêmes députés En Marche sont impatients de savoir comment et pourquoi M. Alexandre Benalla a pu obtenir un badge lui permettant d'entrer selon son bon vouloir dans l'hémicycle de l'Assemblée Nationale (pour rappel seuls y sont autorisés les députés, les huissiers et quelques personnels administratifs triés sur le volet - même les assistants parlementaires ne peuvent prétendre à ce badge). D'autant que la réponse initiale de l'intéressé étant rentrée dans les anales du foutage de gueule envers une commission d'enquête de l'Assemblée nationale (A. Benalla avait répondu que c'était pour accéder à la salle de sport de l'Assemblée), je suis convaincu que ces vertueux députés n'auront de cesse de laver cet insupportable affront.
Et ça c'est pour l'entrée, au plat de résistance il y a tabassage de manifestants, usage abusif de tenues et de matériel de police, des passeports diplomatiques bizarres, du barbouze au Tchad, des disparition de coffre fort et d'armes, etc., etc.
Concernant M. Richard Ferrand, on comprendrait que ce souffle de probité qui balaient des rangs des députés En Marche, les incitent à agir avec célérité. En effet, ce serait quand même ballot de découvrir, en pleine réforme des retraites - dont l'objectif final, rappelons-le, est la mise en place d'un système de retraite par capitalisation au profit des fonds de pension et des multinationales des assurances - que le président de l'Assemblée nationale serait en délicatesse dans une sombre histoire de "prise illégale d’intérêts" dans l’affaire immobilière des assurances "Mutuelles de Bretagne".
On comprendrait pleinement que les députés LREM ne souhaitent pas une telle tâche sur leur honneur collectif. Mieux vaut prévenir que guérir...
On comprendrait pleinement que les députés LREM ne souhaitent pas une telle tâche sur leur honneur collectif. Mieux vaut prévenir que guérir...
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