Au Honduras, le dictateur Juan Orlando Hernandez s'accroche
désespérément au pouvoir alors que tout indique maintenant clairement
que les résultats du scrutin du 26 novembre ont été manipulés pour lui
assurer une victoire.
Hernandez n'a qu'un plan pour imposer des résultats falsifiés : poursuivre dans l'escalade de la répression contre les forces démocratiques qui manifestent depuis plus d'une semaine à l'appel du candidat de l'Alliance d'opposition contre la dictature, Salvador Nasralla qui estime à 200 000 le nombre de voix d'avance en sa faveur et qui exige le recompte des bulletins.
La dictature hondurienne est issue coup d'Etat de 2009 contre le gouvernement de centre gauche dirigé alors par Manuel Zelaya qui venait de faire adhérer le pays à l'Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA) et entendait mettre en œuvre une politique de justice et progrès social.
Ce pouvoir illégitime est capable des pires atrocités, lui qui n'a cessé en 8 ans de battre de tragiques records d'assassinats politiques contre des militant-e-s de défense de l'environnement, des droits humains, des responsables syndicaux et militant-e-s progressistes.
L’état d'urgence a été décrété mais lundi 4 décembre, des centaines de policiers ont manifesté leur refus d'obéir, d'appliquer le couvre-feu- et de charger les manifestations pacifiques de l'opposition ; s'ils étaient rejoints massivement par l'ensemble des forces de sécurité du pays, il s'agirait d'un tournant dans les événements que traverse le Honduras dont le peuple n'aspire qu'à la paix, la démocratie et une vie digne.
Le Parti communiste français apporte son plein soutien aux forces démocratiques et progressistes, au mouvements de défense de l'environnement, des droits humains et des libertés du Honduras qui résistent contre la dictature et pour le plein respect des droits fondamentaux du peuple hondurien.
Le PCF appelle fermement le gouvernement français à sortir de sa torpeur et à manifester son soutien aux forces démocratiques honduriennes en condamnant publiquement la tentative de fraude électorale et le recours à la répression des manifestations.
Hernandez n'a qu'un plan pour imposer des résultats falsifiés : poursuivre dans l'escalade de la répression contre les forces démocratiques qui manifestent depuis plus d'une semaine à l'appel du candidat de l'Alliance d'opposition contre la dictature, Salvador Nasralla qui estime à 200 000 le nombre de voix d'avance en sa faveur et qui exige le recompte des bulletins.
La dictature hondurienne est issue coup d'Etat de 2009 contre le gouvernement de centre gauche dirigé alors par Manuel Zelaya qui venait de faire adhérer le pays à l'Alliance bolivarienne pour les Amériques (ALBA) et entendait mettre en œuvre une politique de justice et progrès social.
Ce pouvoir illégitime est capable des pires atrocités, lui qui n'a cessé en 8 ans de battre de tragiques records d'assassinats politiques contre des militant-e-s de défense de l'environnement, des droits humains, des responsables syndicaux et militant-e-s progressistes.
L’état d'urgence a été décrété mais lundi 4 décembre, des centaines de policiers ont manifesté leur refus d'obéir, d'appliquer le couvre-feu- et de charger les manifestations pacifiques de l'opposition ; s'ils étaient rejoints massivement par l'ensemble des forces de sécurité du pays, il s'agirait d'un tournant dans les événements que traverse le Honduras dont le peuple n'aspire qu'à la paix, la démocratie et une vie digne.
Le Parti communiste français apporte son plein soutien aux forces démocratiques et progressistes, au mouvements de défense de l'environnement, des droits humains et des libertés du Honduras qui résistent contre la dictature et pour le plein respect des droits fondamentaux du peuple hondurien.
Le PCF appelle fermement le gouvernement français à sortir de sa torpeur et à manifester son soutien aux forces démocratiques honduriennes en condamnant publiquement la tentative de fraude électorale et le recours à la répression des manifestations.
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