La Ministre des Transports vient d’annoncer la création d’une écotaxe sur le transport aérien. C’est très tard et surtout beaucoup trop peu. Il faut beaucoup plus de moyens pour le financement des infrastructures de transport. Et il faut surtout tout faire pour réduire le trafic aérien, qui ne cesse d’augmenter à un rythme insoutenable pour le réchauffement climatique, plus de 5% par an.
L’écotaxe annoncée par le gouvernement n’est qu’une aumône comparée aux besoins de financement. Pour le PCF, une vraie écotaxe aérienne doit dégager au moins 2 milliards de recettes par an, et pas les beaucoup trop faibles 182 millions par an annoncés par la Ministre. Ils ne sont qu’une aumône par rapport aux besoins.
Il faut que l’État investisse au moins 5 milliards par an dans les infrastructures de transport, soit plus de deux fois plus que ce que propose la Loi Mobilités en passe d’être votée définitivement.
Une vraie écotaxe aérienne est un outil de financement utile et vertueux pour l’environnement.
Elle doit servir à inciter réellement à réduire le trafic aérien.
Nous proposons un niveau d’au moins 10 euros par billet en classe économique et au moins 100 euros par billet en classe affaires.
Il faut également créer une taxe qui pénalise fortement les trajets en jets privés, une hérésie environnementale. Ils doivent contribuer à hauteur d’au moins 1000 euros par passager.
Cet outil fiscal doit avoir pour objectif de remplacer le maximum de trajets effectués en avion par des trajets effectués en train.
Une fiscalité environnementale efficace sur l’aérien est toujours plus nécessaire.
Comme est nécessaire la mise en échec de la privatisation d’ADP.
Il faut que l’État investisse au moins 5 milliards par an dans les infrastructures de transport, soit plus de deux fois plus que ce que propose la Loi Mobilités en passe d’être votée définitivement.
Une vraie écotaxe aérienne est un outil de financement utile et vertueux pour l’environnement.
Elle doit servir à inciter réellement à réduire le trafic aérien.
Nous proposons un niveau d’au moins 10 euros par billet en classe économique et au moins 100 euros par billet en classe affaires.
Il faut également créer une taxe qui pénalise fortement les trajets en jets privés, une hérésie environnementale. Ils doivent contribuer à hauteur d’au moins 1000 euros par passager.
Cet outil fiscal doit avoir pour objectif de remplacer le maximum de trajets effectués en avion par des trajets effectués en train.
Une fiscalité environnementale efficace sur l’aérien est toujours plus nécessaire.
Comme est nécessaire la mise en échec de la privatisation d’ADP.
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