Nicolas Sarkozy s'est efforcé jeudi de faire oublier les promesses non tenues de Gandrange, où ArcelorMittal a définitivement fermé une aciérie malgré son voeu de la maintenir en activité. Il a multiplié les annonces en faveur d'une Lorraine frappée par la crise économique et les fermetures de sites militaires.
Il a ainsi annoncé un soutien public de 2,7 millions d'euros, dont 1,35 million de l'Etat, à la fabrication d'un véhicule électrique Smart à Hambach, à 85 km à l'est de Metz. Daimler a annoncé son intention d'investir une dizaine de millions d'euros sur ce site pour y produire la version électrique de la Smart ForTwo.
Nicolas Sarkozy a choisi de visiter l'usine Smart d'Hambach plutôt que de revenir à Gandrange, comme il avait pourtant promis de le faire le 4 février 2008 aux salariés de l'aciérie. Il a également évité Metz, ce bastion militaire traditionnel de la France, est concerné par le reformatage des armées. Metz va perdre un régiment du génie (880 personnes), un régiment médical (1.000 personnes) et une base aérienne (2.700 personnes).
Il a justifié les restructurations militaires mais a confirmé aux élus locaux que les emplois ainsi supprimés à Metz seraient remplacés à hauteur de 1.500 personnes par des emplois publics, dont 750 au titre de la délocalisation de l'Institut national de la statistique (Insee). Il a également dit être en discussion avec la chancelière Angela Merkel pour faire venir à Metz une unité allemande.
Il a ainsi annoncé un soutien public de 2,7 millions d'euros, dont 1,35 million de l'Etat, à la fabrication d'un véhicule électrique Smart à Hambach, à 85 km à l'est de Metz. Daimler a annoncé son intention d'investir une dizaine de millions d'euros sur ce site pour y produire la version électrique de la Smart ForTwo.
Nicolas Sarkozy a choisi de visiter l'usine Smart d'Hambach plutôt que de revenir à Gandrange, comme il avait pourtant promis de le faire le 4 février 2008 aux salariés de l'aciérie. Il a également évité Metz, ce bastion militaire traditionnel de la France, est concerné par le reformatage des armées. Metz va perdre un régiment du génie (880 personnes), un régiment médical (1.000 personnes) et une base aérienne (2.700 personnes).
Il a justifié les restructurations militaires mais a confirmé aux élus locaux que les emplois ainsi supprimés à Metz seraient remplacés à hauteur de 1.500 personnes par des emplois publics, dont 750 au titre de la délocalisation de l'Institut national de la statistique (Insee). Il a également dit être en discussion avec la chancelière Angela Merkel pour faire venir à Metz une unité allemande.
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