Le capitalisme recherche le profit financier maximum dans un temps minimum. D’où une logique de prédation des ressources naturelles comme du travail des salariés, au coût le plus faible. Ainsi, inégalités sociales et environnementales vont de pair.
La mondialisation libérale, qui produit là où les salaires sont les plus bas est à ce titre exemplaire. Elle a fait exploser le trafic routier, maritime ou aérien, avec les impacts sur l’environnement que l’on sait.
Repeindre en vert le capitalisme n’est pas suffisant. Il faut mettre en place un mode de développement qui soit à la fois durable, soutenable et renouvelable sur le plan écologique, générateur de progrès social et d’émancipation humaine, démocratique et citoyenne. Il faut dépasser l’actuel système productiviste capitaliste.
Il y a urgence à ce que chacune et chacun s’empare de ces enjeux. Les communistes sont disponibles pour ouvrir des espaces publics de débat, de confrontation, de rassemblement et de luttes, dans le respect des opinions des uns de des autres.
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