Urgences
saturées, épidémie de grippe, mal vie au travail... de multiples
expressions ces dernières semaines concrétisent la crise de l'hôpital.
En réalité,
l'hôpital public, la santé publique sont malades de l'austérité, des
plans d'économies drastiques qui se concrétisent par des contrats de
retour à l'équilibre financier supprimant des milliers d'emplois au plan
national.
Ce n'est pas le
projet de la droite ou pire celui de l'extrême droite qui peut répondre
à cette situation. Attaquer le service public, remettre en cause le
droit syndical, diminuer le nombre de fonctionnaires ne sont pas des
solutions.
Il faut une
politique authentiquement de gauche, alternative à l'austérité,
promouvant le service public. Le remboursement à 100% par la sécurité
sociale des soins prescrits est l'ambition à atteindre.
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