En réponse aux événements récents à Grenoble .
Il dresse un tableau peu reluisant de la situation, Serge Benito, secrétaire du parti communiste français de la section de Grenoble, aux côtés des élus François Auguste et Marie-France Monery, dénonçant la « stigmatisation des étrangers et des jeunes », du chômage qui dépasse largement la moyenne locale et nationale, cette délinquance qui fonctionne « comme un système capitaliste ».
Et c'est bien ce « capitalisme » soutenu par la politique du gouvernement qui « casse des emplois, on l'a vu sur notre région, casse du service public, les retraites, les services sociaux…
Quand on entend Fabien De Sans Nicolas critiquer la municipalité alors qu'il représente l'UMP, le parti du Président qui a abaissé tous les moyens, on se dit qu'il ne manque pas d'air ». S'agissant des propositions, les communistes demandent « une politique de proximité, développer les services publics, donner davantage de moyens aux collectivités, faire plus en matière d'associations et démocratie.
Le PCF de Grenoble veut créer un pacte d'unité populaire qui traduirait par des espaces de dialogue et d'action afin de travailler sur un projet d'une politique alternative à celle du tout sécuritaire du Président ». Ils proposent d'ouvrir « un espace à La Villeneuve avec toutes celles et ceux qui le souhaitent ».
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