La population d'Alep est la principale victime de la bataille d'Alep.
Chacun des belligérants, et de leurs soutiens, se livrent à des combats sans merci rejetant sur leurs ennemis la responsabilité de la violence de la guerre alors que des crimes de guerre ont été commis par toutes les parties en présence, et leurs alliés, depuis le début de l'offensive sur Alep et de la guerre en Syrie.
La responsabilité des pays et institutions membres du Groupe international de soutien à la Syrie, sous égide de l'ONU, est de tout mettre en œuvre pour un cessez-le-feu immédiat et la mise en route effective de la feuille de route adoptée à Genève, et au Conseil de sécurité de l'ONU, il y a tout juste un an. C'est cette dernière qui doit reprendre la main pour sauver les vies qui peuvent encore être sauvées, et stopper la guerre qui ensanglante la Syrie depuis cinq ans.
Il n'y aura pas de vainqueur dans cette guerre dont le seul réel bénéficiaire demeurera l'organisation de l’État islamique et groupes djihadistes qui l'ont rallié ou le rallieront.
La seule issue viable est l'arrêt des combats et le travail politique et diplomatique pour la paix, le désarmement général et une transition démocratique en Syrie dans un processus conciliant les ennemis d'aujourd'hui et sans ingérence extérieure mais avec l'appui de l'ONU. C'est cet objectif, le plus difficile à atteindre mais le seul indispensable à atteindre, que doit poursuivre la France.
Chacun des belligérants, et de leurs soutiens, se livrent à des combats sans merci rejetant sur leurs ennemis la responsabilité de la violence de la guerre alors que des crimes de guerre ont été commis par toutes les parties en présence, et leurs alliés, depuis le début de l'offensive sur Alep et de la guerre en Syrie.
La responsabilité des pays et institutions membres du Groupe international de soutien à la Syrie, sous égide de l'ONU, est de tout mettre en œuvre pour un cessez-le-feu immédiat et la mise en route effective de la feuille de route adoptée à Genève, et au Conseil de sécurité de l'ONU, il y a tout juste un an. C'est cette dernière qui doit reprendre la main pour sauver les vies qui peuvent encore être sauvées, et stopper la guerre qui ensanglante la Syrie depuis cinq ans.
Il n'y aura pas de vainqueur dans cette guerre dont le seul réel bénéficiaire demeurera l'organisation de l’État islamique et groupes djihadistes qui l'ont rallié ou le rallieront.
La seule issue viable est l'arrêt des combats et le travail politique et diplomatique pour la paix, le désarmement général et une transition démocratique en Syrie dans un processus conciliant les ennemis d'aujourd'hui et sans ingérence extérieure mais avec l'appui de l'ONU. C'est cet objectif, le plus difficile à atteindre mais le seul indispensable à atteindre, que doit poursuivre la France.
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