Communiqué de presse
Les amis d’ECOPLA mobilisés. -
Par Annie David / 21 décembre 2016
Alors que des négociations sont en cours entre les ex salarié-e-s
d’ECOPLA et l’entreprise CUKI pour la relance de l’activité de
production de leur entreprise, CUKI joue la provocation et envoie des
camions à l’usine de Saint Vincent de Mercuze pour démonter les machines
et l’outillage.
Certes, par une décision du tribunal, que je trouve contestable et qui d’ailleurs est contestée par de nombreuses autres personnes, CUKI est devenue propriétaire des machines. Mais elle n’a aucun droit sur le site ! C’est donc fort logiquement que ce matin, à l’annonce de l’arrivée de camions italiens, les soutiens aux Amis d’ECOPLA se sont rassemblés en nombre pour empêcher la sortie du matériel.
Depuis des mois les salarié-e-s s’efforcent, dans la légalité, de faire valoir leur droit au maintien de leurs emplois et à la reprise de leur entreprise. Je ne peux accepter que CUKI démonte l’outil de travail compromettant ainsi la possibilité de relance de l’entreprise, au risque d’attiser une colère légitime des salarié-e-s et de leurs soutiens.
Aucune machine ne doit sortir. Les négociations doivent se poursuivre pour la relance de l’activité d’ECOPLA à Saint Vincent de Mercuze et j’attends du Préfet et du Ministre de l’économie et des finances qu’ils engagent l’autorité de l’Etat aux côtés des salarié-e-s, en faveur de l’emploi et de l’activité industrielle, non contre eux.
Je resterai mobilisée à leurs côtés et déterminée jusqu’à l’aboutissement des négociations, pour le redémarrage du site, ECOPLA VIVRA !
Grenoble le 20 décembre 2016
Certes, par une décision du tribunal, que je trouve contestable et qui d’ailleurs est contestée par de nombreuses autres personnes, CUKI est devenue propriétaire des machines. Mais elle n’a aucun droit sur le site ! C’est donc fort logiquement que ce matin, à l’annonce de l’arrivée de camions italiens, les soutiens aux Amis d’ECOPLA se sont rassemblés en nombre pour empêcher la sortie du matériel.
Depuis des mois les salarié-e-s s’efforcent, dans la légalité, de faire valoir leur droit au maintien de leurs emplois et à la reprise de leur entreprise. Je ne peux accepter que CUKI démonte l’outil de travail compromettant ainsi la possibilité de relance de l’entreprise, au risque d’attiser une colère légitime des salarié-e-s et de leurs soutiens.
Aucune machine ne doit sortir. Les négociations doivent se poursuivre pour la relance de l’activité d’ECOPLA à Saint Vincent de Mercuze et j’attends du Préfet et du Ministre de l’économie et des finances qu’ils engagent l’autorité de l’Etat aux côtés des salarié-e-s, en faveur de l’emploi et de l’activité industrielle, non contre eux.
Je resterai mobilisée à leurs côtés et déterminée jusqu’à l’aboutissement des négociations, pour le redémarrage du site, ECOPLA VIVRA !
Grenoble le 20 décembre 2016
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