Le baccalauréat est un diplôme national qui doit ouvrir à tous les
bacheliers les portes du supérieur. Or, faute de places dans une
université soumise au régime de l'austérité, de nombreux bacheliers sont
encore aujourd’hui sans affectation ou affectés dans une filière qui ne
correspond pas à leur projet.
Notre société a besoin de citoyens mieux formés : l’heure n’est pas à réduire l’accès à l’université, mais à permettre à tous les jeunes de s’approprier les savoirs complexes nécessaires pour maîtriser leur vie professionnelle et participer au débat démocratique. Ni le tirage au sort, ni la sélection ne sont des solutions : il est urgent de donner aux universités les moyens humains et matériels d’accueillir et de faire réussir tous les bacheliers.
Pourquoi le bac ? C'est un diplôme national, sanctionnant une formation délivrée par l'éducation nationale, qui doit permettre à tous ceux qui l’obtiennent de poursuivre leurs études. Le contrôle continu n’est pas une solution : non seulement il pose d’importants problèmes d’organisation comme on le voit déjà dans les filières professionnelles, mais il ouvre la voie à un bac à la carte, qui ne vaudra pas la même chose en fonction des établissements. La sixième puissance économique du monde a les moyens d'organiser un examen national garantissant la qualité de sa conception, l'égalité de traitement des candidats et le bon déroulement des épreuves. Ca coûte cher à la nation? moins que les actionnaires.
Un baccalauréat par établissement, un code du travail par entreprise ? Le gouvernement veut imposer une société d’isolement et de concurrence généralisée. Nous voulons au contraire construire démocratiquement et renforcer les cadres collectifs seuls à même de garantir l’égalité pleine et entière de tous.
C’est pourquoi nous nous opposerons à toutes les réformes visant à casser le cadre national du baccalauréat comme de l’éducation et agirons pour une école de l’égalité aux côtés de tous ceux qui partagent ce projet.
Notre société a besoin de citoyens mieux formés : l’heure n’est pas à réduire l’accès à l’université, mais à permettre à tous les jeunes de s’approprier les savoirs complexes nécessaires pour maîtriser leur vie professionnelle et participer au débat démocratique. Ni le tirage au sort, ni la sélection ne sont des solutions : il est urgent de donner aux universités les moyens humains et matériels d’accueillir et de faire réussir tous les bacheliers.
Pourquoi le bac ? C'est un diplôme national, sanctionnant une formation délivrée par l'éducation nationale, qui doit permettre à tous ceux qui l’obtiennent de poursuivre leurs études. Le contrôle continu n’est pas une solution : non seulement il pose d’importants problèmes d’organisation comme on le voit déjà dans les filières professionnelles, mais il ouvre la voie à un bac à la carte, qui ne vaudra pas la même chose en fonction des établissements. La sixième puissance économique du monde a les moyens d'organiser un examen national garantissant la qualité de sa conception, l'égalité de traitement des candidats et le bon déroulement des épreuves. Ca coûte cher à la nation? moins que les actionnaires.
Un baccalauréat par établissement, un code du travail par entreprise ? Le gouvernement veut imposer une société d’isolement et de concurrence généralisée. Nous voulons au contraire construire démocratiquement et renforcer les cadres collectifs seuls à même de garantir l’égalité pleine et entière de tous.
C’est pourquoi nous nous opposerons à toutes les réformes visant à casser le cadre national du baccalauréat comme de l’éducation et agirons pour une école de l’égalité aux côtés de tous ceux qui partagent ce projet.
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