Le retour de l'été ramène les plages et l'état des océans dans
l'actualité. Le système actuel conduit à des modes de vie qui agressent
gravement la biodiversité des océans. Ces phénomènes sont accentués par
la mondialisation du commerce maritime et son augmentation du fait des
grands groupes sous contraintes financières. Ainsi les barrières de
corail sont fragilisées par le réchauffement climatique mais au cœur des
océans, ce sont des tonnes de déchets. 7 millions de tonnes de détritus
sont jetés chaque année dans les mers. 5.000 milliards de morceaux de
plastiques flottent dans les eaux du globe.
Le flottage provoque la confusion entre un sac et une méduse : tortues, oiseaux, poissons croient s'en nourrir. Fragmentés par les vagues, les plastiques sont ingérés par les poissons puis retrouvent la chaîne alimentaire des humains avec des conséquences sur leur santé que l'on commence à appréhender.
Il n'est plus tolérable de continuer ainsi.
Les mesurettes prises, ici ou là, ne sont pas à la dimension du problème : incitations individuelles à la "vertu" et poubelles sur les ports ne suffisent pas. La "libre concurrence" est nocive pour la planète. Les autorités maritimes internationales et les États doivent réagir et vite.
Le PCF agit en ce sens et propose notamment des mesures concertées et vérifiables :
- Interdiction de la décharge de déchets en remblais sur le trait de côte
- Accélérer la dépollution des fleuves côtiers et des égouts des grandes villes côtières (avec aide aux pays pauvres)
- Contrôler les produits embarqués et les déchets ramenés à terre
- Bannir les plastiques pour les emballages embarqués
- Surveiller les rejets de déchets en mer comme cela se pratique pour les déballastages et dégazages sauvages
- Contrôler et réglementer la grande pêche hauturière et le chalutage. Modifier la nature des filets de pêche pour les rendre dégradables et éviter qu'ils ne se transforment en pièges redoutables ..…
Parti communiste français
Le flottage provoque la confusion entre un sac et une méduse : tortues, oiseaux, poissons croient s'en nourrir. Fragmentés par les vagues, les plastiques sont ingérés par les poissons puis retrouvent la chaîne alimentaire des humains avec des conséquences sur leur santé que l'on commence à appréhender.
Il n'est plus tolérable de continuer ainsi.
Les mesurettes prises, ici ou là, ne sont pas à la dimension du problème : incitations individuelles à la "vertu" et poubelles sur les ports ne suffisent pas. La "libre concurrence" est nocive pour la planète. Les autorités maritimes internationales et les États doivent réagir et vite.
Le PCF agit en ce sens et propose notamment des mesures concertées et vérifiables :
- Interdiction de la décharge de déchets en remblais sur le trait de côte
- Accélérer la dépollution des fleuves côtiers et des égouts des grandes villes côtières (avec aide aux pays pauvres)
- Contrôler les produits embarqués et les déchets ramenés à terre
- Bannir les plastiques pour les emballages embarqués
- Surveiller les rejets de déchets en mer comme cela se pratique pour les déballastages et dégazages sauvages
- Contrôler et réglementer la grande pêche hauturière et le chalutage. Modifier la nature des filets de pêche pour les rendre dégradables et éviter qu'ils ne se transforment en pièges redoutables ..…
Parti communiste français
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