850 millions d'euros par an, c'est le
montant que le gouvernement entend investir chaque année pour
l'entretien du réseau routier national. Un montant clairement
insuffisant. Un rapport remis récemment a démontré qu’il faudrait
investir 1,3 milliard par an.
Le dogme de l'austérité budgétaire a encore frappé et malgré le débat largement engagé ces dernières semaines, les routes et ponts de l’État ne bénéficieront pas des moyens nécessaires pour rattraper le sous-investissement des dernières décennies.
Le dogme de l'austérité budgétaire a encore frappé et malgré le débat largement engagé ces dernières semaines, les routes et ponts de l’État ne bénéficieront pas des moyens nécessaires pour rattraper le sous-investissement des dernières décennies.
L'ISF du nouveau monde, ce sont les "Infrastructures Sans Financements".
Lors du vote du budget 2019 et de la Loi
sur les Mobilités les parlementaires communistes proposeront des
investissements pour les voies ferrées, les ponts, les routes, les voies
d'eau et les voies cyclables à la hauteur des besoins. Soit 4 milliards
supplémentaires qui peuvent être financés par la création de nouvelles
ressources et le lancement d'emprunts garantis par la BCE.
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