Les communistes grenoblois ont fait une rentrée très active. Tellement active qu'ils nous ont présenté hier leurs prochains axes de bataille. Car bataille il y a et, d'après leurs dires, il y aura encore...
Premier sujet de préoccupation : La Poste. Et premier acte militant : la participation à la consultation nationale organisée à partir de ce jeudi, dans 120 communes iséroises, dont Grenoble.
« Notre objectif est de réussir un grand rassemblement citoyen pour lutter contre le changement de statut de La Poste, qui est bel et bien une privatisation. Pour une question aussi grave, le président de la République avait le devoir de consulter la population. Or, il ne l'a pas fait. Donc, nous allons utiliser les outils de la démocratie pour dire non à cette réforme », explique Patrice Voir, adjoint au maire de Grenoble.
Autre cheval de bataille : l'actuelle réforme des collectivités et le doute qui plane sur l'avenir des communes, des instances départementales et régionales. Pour les communistes grenoblois, cette réforme « prône la création de gigantesques métropoles où toutes les richesses seront concentrées. À terme, ce sera la disparition des petites communes, mais
aussi des élus de proximité qui, pour la plupart, travaillent bénévolement dans les mairies, au plus proche de leurs concitoyens ».
Les communistes de l'Isère pensent qu'il est encore temps de « se battre contre un projet qui touche à des acquis, certains obtenus depuis la Révolution française » et qui « fera porter aux collectivités les restrictions de services publics ordonnées par l'État ».
« Cette réforme est pour nous un recul démocratique qui s'inscrit dans une mise en compétition des territoires et des hommes, ce qui accentuera forcément les inégalités, la précarité ».
Premier sujet de préoccupation : La Poste. Et premier acte militant : la participation à la consultation nationale organisée à partir de ce jeudi, dans 120 communes iséroises, dont Grenoble.
« Notre objectif est de réussir un grand rassemblement citoyen pour lutter contre le changement de statut de La Poste, qui est bel et bien une privatisation. Pour une question aussi grave, le président de la République avait le devoir de consulter la population. Or, il ne l'a pas fait. Donc, nous allons utiliser les outils de la démocratie pour dire non à cette réforme », explique Patrice Voir, adjoint au maire de Grenoble.
Autre cheval de bataille : l'actuelle réforme des collectivités et le doute qui plane sur l'avenir des communes, des instances départementales et régionales. Pour les communistes grenoblois, cette réforme « prône la création de gigantesques métropoles où toutes les richesses seront concentrées. À terme, ce sera la disparition des petites communes, mais
aussi des élus de proximité qui, pour la plupart, travaillent bénévolement dans les mairies, au plus proche de leurs concitoyens ».
Les communistes de l'Isère pensent qu'il est encore temps de « se battre contre un projet qui touche à des acquis, certains obtenus depuis la Révolution française » et qui « fera porter aux collectivités les restrictions de services publics ordonnées par l'État ».
« Cette réforme est pour nous un recul démocratique qui s'inscrit dans une mise en compétition des territoires et des hommes, ce qui accentuera forcément les inégalités, la précarité ».
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