Les membres du collectif isérois contre la privatisation de La Poste se félicitent de l'ampleur du mouvement. « L'Isère est l'un des départements les plus engagés », se réjouit M. Brottes. Pour renforcer l'impact de son action, le collectif compte sur les citoyens. Une consultation est organisée dans plus de cent communes iséroises du 28 septembre au 3 octobre. Pendant une semaine, la population est appelée à voter pour ou contre la "privatisation" de l'entreprise. Des urnes seront à disposition dans les mairies, devant les bureaux de poste, sur les marchés...
Problème : les municipalités n'ont pas le droit d'organiser un tel référendum. Certaines ont pris ce droit. Pour d'autres, ce sont les citoyens qui l'organisent eux-mêmes. Mais hier soir, toutes les mairies participantes (au moins une trentaine) ont reçu une assignation en référé devant le tribunal administratif par la préfecture (lire ci-contre). Le collectif va étudier les risques et l'action à développer.
Problème : les municipalités n'ont pas le droit d'organiser un tel référendum. Certaines ont pris ce droit. Pour d'autres, ce sont les citoyens qui l'organisent eux-mêmes. Mais hier soir, toutes les mairies participantes (au moins une trentaine) ont reçu une assignation en référé devant le tribunal administratif par la préfecture (lire ci-contre). Le collectif va étudier les risques et l'action à développer.
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