Le sujet revient sur la table et risque d’animer le Salon de
l’agriculture qui s’ouvre ce 25 février. Si l’ex ministre de l’Écologie
Nathalie Kosciusko-Morizet a notifié à Bruxelles une demande
d’interdiction du maïs Mon 810 de Monsanto, les agriculteurs français
demeurent pour le moment libres de le semer. Des stocks d’OGM seraient
même constitués, alors que la réponse de la Commission européenne se
fait attendre. La Confédération paysanne demande au gouvernement une
interdiction temporaire.
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