Oui, pour que les Fralib aient un avenir il faut
faire céder Unilever. Ce grand groupe capitaliste, que le gouvernement
PS ne semble pas vouloir faire obéir à la loi française, doit être
attaqué là où cela lui fait le plus mal : au porte monnaie ! C’est pour
cela que nous proposons à tous ceux qui nous lisent, comme beaucoup
d’autres en France, de boycotter les produits de l’empire Unilever.
Pour que vive Fralib : boycott d’Unilever !
Nous, personnalités représentatives de diverses sensibilités,
organisations et réseaux du mouvement social, politique et intellectuel,
avons décidé, en accord avec les salariés de Fralib, de lancer un appel
à la mobilisation citoyenne le samedi 7 décembre prochain. Nous
proposons à toutes celles et ceux qui le veulent d’organiser localement
ce jour-là des actions symboliques dans les supermarchés visant à
populariser le boycott d’Unilever. Une page Facebook https://www.facebook.com/liberezelephant est mise en place pour faciliter la coordination des actions au plan local.Merci à toutes et tous, et que vive l’Eléphant !
Une bonne idée d’action ? : cgt.fralibvivra.over-blog.com/pages/les-salaries-de-fralib-lancent-une-nouvelle-operation-boycott-de-lipton-4708808.html
L’appel
Une entreprise industrielle ancrée dans son territoire, la Provence.
Relançant par ses commandes une production locale et écologique de
plantes– tilleul, verveine, menthe...- jusqu’alors en déshérence. Liée à
ses fournisseurs et à ses clients par des relations commerciales
équitables et durables, avec des prix justes. Fondée sur la démocratie
interne et la participation de toutes et tous aux décisions.Tel est le projet des travailleurs de Fralib à Géménos, près de Marseille, qui veulent relancer leur entreprise sous forme de coopérative. Depuis trois ans, elles et ils luttent pour obtenir de leur ancien employeur, la multinationale Unilever, le soutien minimum dont ils ont besoin pour se lancer : la cession du nom de marque « Éléphant », qu’Unilever a décidé de faire disparaitre au profit de LIPTON marque milliardaire du Groupe, et un certain volume de commandes pendant la période de démarrage.
Mais Unilever ne veut rien savoir.
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