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« A la fin, c’est nous qu’on va gagner ! » Une certitude pour Fakir, qui a fait de cette petite phrase aux accents populaires, son principal mot d’ordre. Et c’est dans cette logique, que la rédaction du « journal fâché avec tout le monde ou presque » s’est proposée de faire la jonction entre les différentes revendications portées à l’encontre de Jean-Charles Naouri, PDG du groupe Casino et 61e fortune de France (+2 places en un an). Si le business-man s’est attiré les foudres de certains, c’est que pour édifier son empire, l’homme n’a pas toujours fait dans la dentelle. D’aucuns disent même qu’on lui doit pas mal de « drames économiques ».
Ils sont anciens salariés de Moulinex, gérants de Petits Casino, journalistes ou simples citoyens. Tous demandent à Jean-Charles Naouri de rendre des comptes, d’accepter le débat, la discussion. « De répondre sur son rôle actif dans les années 80 en matière de libéralisation de la finance », « de reconnaître sa part de responsabilité dans la faillite de Moulinex en 2001 », « de procéder à la requalification de tous les gérants non-salariés du groupe Casino qui le souhaitent en contrats de travail salariés ». Mais voilà, en dépit de diverses sollicitations, le PDG n’a pas daigné donner suite.
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