Alors que l’accord national interprofessionnel (Ani) du 11 janvier
dernier était en pleine phase de débat parlementaire, hier, à
l’Assemblée nationale, Les manifestants ont défilé à Grenoble,
immobilisant pour un temps les rues, de la place de Verdun à la mairie.
Ils
ont répondu présents à l’appel de la CGT, de FO, de FSU et de
Solidaires, pour s’opposer à l’accord dit de “sécurisation de l’emploi”.
Pour
les syndicats, « les dispositions contenues dans l’Ani vont aggraver la
situation de crise de l’emploi, en offrant encore plus de flexibilité
aux employeurs ». En cause : la baisse des salaires, l’augmentation du
temps de travail et les mobilités forcées.
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