Communiqué du Parti Communiste:
La perte d'autonomie que chacun d'entre nous peut rencontrer au cours de son existence n'est pas à vendre ! Elle est une question de solidarité nationale et exige un renforcement et un développement des solidarités, des financements et des accompagnements collectifs. Les besoins liés à la perte d'autonomie sont criants. Ils le seront bien plus si les personnes touchées sont renvoyées individuellement à leur situation et si leurs conditions de vie sont assujetties à leurs seules sources de revenus et possibilité, ou non, de souscrire une assurance personnelle. Le gouvernement détourne l'exigence d'une aide accrue aux personnes « dépendantes » en voulant instaurer un prétendu 5e risque de la sécurité sociale qui couvre déjà, parmi ses 9 branches, les situations de perte d'autonomie (vieillesse, handicap, invalidité).
Le PCF refuse non seulement qu'une partie de la population soit ainsi caractérisée par la perte d'autonomie mais dénonce la stratégie gouvernementale qui n'a d'autre but que d'offrir aux compagnies d'assurances, dont on connaît les liens avec le pouvoir, une nouvelle part de marché et des perspectives éminemment lucratives. C'est proprement abject ! Le président Sarkozy et sa majorité, aux ordres du MEDEF, mettent à sac la sécurité sociale, la protection sociale et la santé publique dans notre pays, en sacrifiant cyniquement les intérêts des Français à ceux de la finance.
La perte d'autonomie que chacun d'entre nous peut rencontrer au cours de son existence n'est pas à vendre ! Elle est une question de solidarité nationale et exige un renforcement et un développement des solidarités, des financements et des accompagnements collectifs. Les besoins liés à la perte d'autonomie sont criants. Ils le seront bien plus si les personnes touchées sont renvoyées individuellement à leur situation et si leurs conditions de vie sont assujetties à leurs seules sources de revenus et possibilité, ou non, de souscrire une assurance personnelle. Le gouvernement détourne l'exigence d'une aide accrue aux personnes « dépendantes » en voulant instaurer un prétendu 5e risque de la sécurité sociale qui couvre déjà, parmi ses 9 branches, les situations de perte d'autonomie (vieillesse, handicap, invalidité).
Le PCF refuse non seulement qu'une partie de la population soit ainsi caractérisée par la perte d'autonomie mais dénonce la stratégie gouvernementale qui n'a d'autre but que d'offrir aux compagnies d'assurances, dont on connaît les liens avec le pouvoir, une nouvelle part de marché et des perspectives éminemment lucratives. C'est proprement abject ! Le président Sarkozy et sa majorité, aux ordres du MEDEF, mettent à sac la sécurité sociale, la protection sociale et la santé publique dans notre pays, en sacrifiant cyniquement les intérêts des Français à ceux de la finance.
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