«NON aux politiques d’austérité !»
Collectif
unitaire du Grésivaudan
d’organisations et de citoyens
Pinsot le 14
décembre 2012
Monsieur le député
« Le
14 juin 2011, alors dans l’opposition, vous fustigiez, pancarte à la main, le
nouveau cadeau offert par le président Sarkozy au plus riches : 2 milliards
d’euros !
Aujourd’hui
dans la majorité, avez-vous repris ces deux milliards pour les redistribuer en
prestations sociales ou en relance des services publics ? et si non pourquoi ?
Lors
de votre campagne, dans vos réunions publiques, vous présentiez comme urgent
deux lois :
-
L’une pour conforter l’activité, en obligeant un « entrepreneur » désirant
arrêter son activité, à la céder à un repreneur ou à ses salariés
- La seconde, pour interdire à une société
bénéficiaire de licencier pour motif économique (Cette loi, proposée l’an dernier par les sénateurs du Front de
gauche, avait reçu le soutien des sénateurs socialistes)
Pourquoi
ces lois n’ont-elles pas déjà été adoptées ni même inscrites à l’ordre du jour,
alors que chaque jour l’actualité en démontre
l’urgence absolue ? »
Telle est la brève interpellation de la politique d’austérité, que vous contribuez à mettre en œuvre en France, que nous diffuserons auprès de nos concitoyens, par le tract ci-joint, illustrée du cliché d’une véhémente protestation contre la politique fiscale menée par le président Sarkozy.
Sur votre politique fiscale
Telle est la brève interpellation de la politique d’austérité, que vous contribuez à mettre en œuvre en France, que nous diffuserons auprès de nos concitoyens, par le tract ci-joint, illustrée du cliché d’une véhémente protestation contre la politique fiscale menée par le président Sarkozy.
Sur votre politique fiscale
Le 14 juin vous protestiez de façon véhémente et
spectaculaire contre la réforme de l’ISF du président Sarkozy : un cadeau
de 2 milliards aux plus riches.
Le
6 décembre 2011, toute la gauche sénatoriale, socialiste, communiste, Front de
gauche, écologiste, avait le courage de voter des mesures taxant le capital et
faisant revenir dans le giron de l’État près de 30 milliards d’euros :
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