D’un côté, les banques veulent capter toujours plus l’argent du Livret A afin de renforcer leurs fonds propres avec des liquidités. De l’autre côté, la CDC estime que conserver 70% des encours, tel que le lui a promis le gouvernement, couvrira à peine les besoins de financement du logement social.
Pour la CNL, il serait totalement scandaleux que le gouvernement arbitre en faveur des banques. D’une part, parce qu’elles ont déjà bénéficié d’un plan de sauvetage de 360 milliards d’euros. D’autre part, ce serait un détournement de la mission d’intérêt général des fonds du Livret A qui servent à financer le logement social, la Politique de la ville et, au-delà, les transports, des infrastructures hospitalières ou encore universitaires. C’est aussi un atout important pour les collectivités locales.
Enfin, l’épargne populaire ne serait plus sécurisée dans les mêmes conditions qu’actuellement.
Une fois de plus, ce sont les ménages, notamment les plus fragiles économiquement, qui vont faire les frais du manque de logements sociaux, d’investissements dans les services publics de proximité et d’accessibilité bancaire.
Pour la CNL, il est indispensable que la CDC continue à centraliser l’essentiel des fonds des livrets d’épargne populaire. Dans un contexte de crise du logement sans précédent que connaît notre pays et du désengagement toujours plus important de l’Etat, les bailleurs sociaux doivent pouvoir continuer à bénéficier pleinement des prêts bonifiés de la CDC pour construire de nouveaux logements, rénover et garantir l’accès au logement social.
La CNL demande ainsi que la centralisation revienne totalement entre les mains de la CDC.
Pour la CNL, il serait totalement scandaleux que le gouvernement arbitre en faveur des banques. D’une part, parce qu’elles ont déjà bénéficié d’un plan de sauvetage de 360 milliards d’euros. D’autre part, ce serait un détournement de la mission d’intérêt général des fonds du Livret A qui servent à financer le logement social, la Politique de la ville et, au-delà, les transports, des infrastructures hospitalières ou encore universitaires. C’est aussi un atout important pour les collectivités locales.
Enfin, l’épargne populaire ne serait plus sécurisée dans les mêmes conditions qu’actuellement.
Une fois de plus, ce sont les ménages, notamment les plus fragiles économiquement, qui vont faire les frais du manque de logements sociaux, d’investissements dans les services publics de proximité et d’accessibilité bancaire.
Pour la CNL, il est indispensable que la CDC continue à centraliser l’essentiel des fonds des livrets d’épargne populaire. Dans un contexte de crise du logement sans précédent que connaît notre pays et du désengagement toujours plus important de l’Etat, les bailleurs sociaux doivent pouvoir continuer à bénéficier pleinement des prêts bonifiés de la CDC pour construire de nouveaux logements, rénover et garantir l’accès au logement social.
La CNL demande ainsi que la centralisation revienne totalement entre les mains de la CDC.
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