Cette année encore, le "Collectif du 17
octobre" appelle à un rassemblement au Pont Saint Michel le 17 octobre
2013 à 18h30 pour commémorer le 52ème anniversaire du crime d'état commis le 17 octobre 1961, en plein cœur de Paris.
Trois raisons principales motivent ce rassemblement :
- Ne pas oublier ce crime, perpétrer la mémoire des centaines de victimes.
- Reconnaître et condamner ce crime d'état
- Ouvrir largement les archives (dans un cadre franco-algérien, indépendant) pour que toute la vérité soit enfin connue et que justice puisse être rendue
On se rappelle que l’Élysée diffusait enfin un communiqué, le 17 octobre 2012, 2 heures avant le rassemblement du Pont Saint Michel, tout en refusant de recevoir les responsables des associations animant le "Collectif du 17 Octobre".
Le texte de ces 3 phrases était :
"Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l’indépendance ont été tués lors d’une sanglante répression.
La République reconnaît avec lucidité ces faits.
Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes"
L’expression du Président était bien en retrait de celui du candidat, un an auparavant, qui réclamait, en, signant la pétition du "Collectif 17 Octobre" sur Médiapart. La reconnaissance et la condamnation de ce crime d’état ne figurent pas dans cette déclaration.
A quand un geste symbolique ?
Trois raisons principales motivent ce rassemblement :
- Ne pas oublier ce crime, perpétrer la mémoire des centaines de victimes.
- Reconnaître et condamner ce crime d'état
- Ouvrir largement les archives (dans un cadre franco-algérien, indépendant) pour que toute la vérité soit enfin connue et que justice puisse être rendue
On se rappelle que l’Élysée diffusait enfin un communiqué, le 17 octobre 2012, 2 heures avant le rassemblement du Pont Saint Michel, tout en refusant de recevoir les responsables des associations animant le "Collectif du 17 Octobre".
Le texte de ces 3 phrases était :
"Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l’indépendance ont été tués lors d’une sanglante répression.
La République reconnaît avec lucidité ces faits.
Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes"
L’expression du Président était bien en retrait de celui du candidat, un an auparavant, qui réclamait, en, signant la pétition du "Collectif 17 Octobre" sur Médiapart. La reconnaissance et la condamnation de ce crime d’état ne figurent pas dans cette déclaration.
A quand un geste symbolique ?
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