L’année 2018 a commencé sur fond de luttes sociales massives dans
le monde. D’immenses manifestations ont eu lieu en Iran, remettant en
cause la République islamique. En Tunisie, la jeunesse s’est mobilisée
contre le chômage et l’austérité. Ces mouvements sociaux illustrent bien
la grande instabilité politique qui touche tous les pays.
Au Brésil, la crise du capitalisme s’aggrave. La bourgeoisie brésilienne n’a pas d’autre choix que d’intensifier ses attaques contre les conditions de vie déjà très dures de la majorité des travailleurs. Le taux de chômage, officiellement de 12 %, est en réalité bien plus élevé ; les services publics se dégradent ; les salaires baissent et la violence policière est permanente dans les quartiers populaires. Les travailleurs brésiliens ne supporteront pas cette situation indéfiniment. Début 2017, le Brésil a connu la plus grande grève générale de son histoire, qui n’a été stoppée que par la trahison de la direction du mouvement, effrayée à l’idée d’une confrontation ouverte avec la bourgeoisie.
Au Brésil, la crise du capitalisme s’aggrave. La bourgeoisie brésilienne n’a pas d’autre choix que d’intensifier ses attaques contre les conditions de vie déjà très dures de la majorité des travailleurs. Le taux de chômage, officiellement de 12 %, est en réalité bien plus élevé ; les services publics se dégradent ; les salaires baissent et la violence policière est permanente dans les quartiers populaires. Les travailleurs brésiliens ne supporteront pas cette situation indéfiniment. Début 2017, le Brésil a connu la plus grande grève générale de son histoire, qui n’a été stoppée que par la trahison de la direction du mouvement, effrayée à l’idée d’une confrontation ouverte avec la bourgeoisie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire