« Il
y a beaucoup de luttes. Nous devons faire du cousu main », estime le
secrétaire général de la CGT dans l’entretien qu’il accorde à
l’Humanité, après l’annonce d’une journée nationale interprofessionnelle
d’action le 19 avril.
Philippe
Martinez : "Aujourd’hui, nous devons faire du cousu main. En 1968,
c’est parti comme cela. Il n’y a pas eu d’appel général à la grève, mais
un enchaînement de mobilisations qui ont convergé. Le patronat avait le
même discours qu’aujourd’hui, or des avancées sociales énormes se sont
produites pour le monde du travail." Lire l'intégralité de notre entretien avec le Secrétaire général de la CGT
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