Selon lui, le président et son gouvernement "ont des projets, ils sont sûrs d’avoir raison, et le reste ne les intéresse pas (…), ils ne font même plus semblant de discuter." Et pour la première fois, il s’en prend vivement au président de la SNCF, Guillaume Pepy : "Il faut qu’il arrête, lui ! (…) Pepy dit tout et son contraire, juste pour faire plaisir au chef."
Un point de satisfaction pour ce partisan de la "convergence des luttes" : l’unité actuelle des syndicats de cheminots. "Je vois bien que le gouvernement essaie de nous diviser, mais ça tient. La SNCF est un bon exemple de ce qu’on pourrait faire partout : on ne nie pas les différences, mais on cultive ce qui nous rassemble."
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