Des individus cagoulés s'en sont pris avec violence en pleine
journée, mercredi, aux locaux de la Fédération du Rhône du Parti
communiste français. Interpellés dans les heures qui ont suivi, ces
personnes ont revendiqué leurs actes et leur appartenance à divers
groupuscules d'extrême droite se réclamant de l'œuvre française.
Ce n'est pas la première fois – graffitis insultants, croix celtiques,
jet de fumigène – de plus en plus violents, ces activistes ont deux buts
précis : instaurer un climat de terreur et faire parler d'eux.
De tels agissements doivent encourir de sévères sanctions pénales car ce type d'attaques se multiplie. Déjà des locaux de militants associatifs du Rhône mais aussi, ailleurs en France, comme dans les Hauts-de-Seine, une permanence du Front de gauche, ont été pris pour cibles. Les communistes, les démocrates et les républicains ne se laisseront pas faire, ni entraîner dans la panique.
À leur crasse et dangereuse ignorance, à leur agressivité, nous opposons l'intelligence, le rassemblement et le sang-froid. Ces énergumènes seront impuissants à nous détourner de notre action politique pour la justice sociale, la liberté et l'égalité.
Je veux assurer les communistes du Rhône de mon soutien et les assurer de la solidarité de leurs camarades de toute la France.
Communiqué du Parti Communiste Français
Provocations fascistes à Lyon : il faut une riposte organisée !
Nous étions sur le point de publier l’article ci-dessous lorsque nous avons appris que le siège du PCF du Rhône a été victime d’une attaque de la part d’une bande fasciste se réclamant des Jeunesses Nationalistes, mercredi 26 septembre. Cette agression prouve encore ne fois qu’une réponse sérieuse et organisée à la violence fasciste est nécessaire et urgente.
Depuis quelques années, les habitants de Lyon font face à une recrudescence de provocations et d’actes violents de la part des militants d’extrême droite locaux, organisés en différents petits groupes aux noms évocateurs tels que Jeunesses Identitaires, Jeunesses Nationalistes ou encore « Bunker Korps ». Le point commun entre ces différents groupes ? La haine de l’autre et la volonté de s’imposer dans l’espace public, par l’intimidation et la violence si besoin.
La situation a connu une certaine médiatisation au niveau national
suite à l’ouverture d’un local à vocation « culturelle » dans le
quartier de Gerland : le fameux Bunker Korps. Entre la salle de
musculation, la salle télé pour permettre aux hooligans interdits de
stades de voir les matchs de l’Olympique Lyonnais et les entraînements
au combat de rue, on ne sait pas trop où la culture trouvait un endroit
pour se réfugier mais ce qui est sur, c’est que ceux qui y entraient
n’en sortaient pas plus ouvert sur le monde qui les entoure. Les
multiples agressions à caractère raciste ou homophobe commises aux
alentours de ce local ont amené des partis de gauche, des syndicats et
des associations à se regrouper au sein d’un collectif de vigilance
contre l’extrême droite et à obtenir la fermeture administrative du
local auprès de la mairie.
De tels agissements doivent encourir de sévères sanctions pénales car ce type d'attaques se multiplie. Déjà des locaux de militants associatifs du Rhône mais aussi, ailleurs en France, comme dans les Hauts-de-Seine, une permanence du Front de gauche, ont été pris pour cibles. Les communistes, les démocrates et les républicains ne se laisseront pas faire, ni entraîner dans la panique.
À leur crasse et dangereuse ignorance, à leur agressivité, nous opposons l'intelligence, le rassemblement et le sang-froid. Ces énergumènes seront impuissants à nous détourner de notre action politique pour la justice sociale, la liberté et l'égalité.
Je veux assurer les communistes du Rhône de mon soutien et les assurer de la solidarité de leurs camarades de toute la France.
Communiqué du Parti Communiste Français
Provocations fascistes à Lyon : il faut une riposte organisée !
Nous étions sur le point de publier l’article ci-dessous lorsque nous avons appris que le siège du PCF du Rhône a été victime d’une attaque de la part d’une bande fasciste se réclamant des Jeunesses Nationalistes, mercredi 26 septembre. Cette agression prouve encore ne fois qu’une réponse sérieuse et organisée à la violence fasciste est nécessaire et urgente.
Depuis quelques années, les habitants de Lyon font face à une recrudescence de provocations et d’actes violents de la part des militants d’extrême droite locaux, organisés en différents petits groupes aux noms évocateurs tels que Jeunesses Identitaires, Jeunesses Nationalistes ou encore « Bunker Korps ». Le point commun entre ces différents groupes ? La haine de l’autre et la volonté de s’imposer dans l’espace public, par l’intimidation et la violence si besoin.
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